Le couscous boulettes de Sarkozy

 

Franchement, entre nous, le tandem Sarkozy/Herzog ne pouvait-il pas choisir un autre nom que celui de Paul Bismuth pour camoufler leurs petites cachotteries téléphoniques afin d’éviter de se faire poinçonner par la redoutable brigade des mœurs politiques ?

Il n’aurait pas pu adopter plutôt comme nom d’emprunt un patronyme sentant bon la France profonde, la France du terroir, la France éternelle de nos villes et de nos campagnes, un quelconque Jean Martin, un anonyme Paul Durand, un Pierre Dupont de bon aloi qui n’aurait alerté personne ?

Mais non il a fallu que nos deux compères s’en aillent débusquer ce ridicule sobriquet de Paul Bismuth, prétendu ancien camarade de classe de Maître Herzog, ce nom qu’on ne peut manquer d’associer à toute la clique de juifs tunisiens qui dominent le monde depuis des générations du haut de leur arrogance huileuse.

Jean-Danie Sudres

Toute cette bande éhontée de trafiquants d’huile d’olive frelatée qui de La Goulette à Hammamet, de la Marsa à Sousse, de Tunis à Sfax, n’ont eu de cesse de s’infiltrer dans toutes les strates de la société française en essayant de la pervertir de l’intérieur à coups de pâtisseries gouleyantes baignant dans un océan de miel survitaminé.

Je le dis tout net, le recours à l’utilisation de ce nom n’est en rien fortuit.

C’est de toute évidence un coup monté afin de désigner une nouvelle fois la juiverie internationale comme responsable de cette comédie des plus burlesques qui secoue en ce moment les plus hautes sphères du pouvoir.

Où, comme toujours en pareille situation, on a recours au juif de service pour tenter de se dédouaner de ses comportements délétères en déclamant être en filigrane la victime d’un énième complot derrière lequel se dissimule encore et toujours l’ombre de l’omnipotent lobby juif qui doit de toute évidence compter dans ses rangs une flopée de Bismuth en tout genre.

Tant qu’à faire, ils auraient pu tout aussi bien choisir un Maurice Boutboul, un Roger Bokobza, un Jacques Taieb, un René Azoulay, un Albert Sebag, un Simon Moati ou un André Nattaf afin de charger encore un peu plus la barque de leurs perfidies linguistiques et patronymiques.

Choix d’autant plus malheureux qu’il est de notoriété publique que le juif tunisien est par nature manipulateur, roublard, machiavélique, comploteur, bouffeur de glibettes devant l’éternel, buveur invétéré de Boukha, joueur de rami, comploteur avéré mouillant dans toutes les combines possibles et imaginables, du trafic de dattes allégées au commerce d’harissa à la noix de coco.

J’en sais quelque chose étant moi-même le fils d’une mère digne héritière d’un clan Moatti qui a régné en maître sur Sousse et ses environs pendant des générations.

Choix encore plus incomphrésenible quand on sait que le juif tunisien est bavard et tient la plupart du temps à ce qu’on sache qu’il l’est.

Il suffit de s’être prélassé un instant sur une plage de Deauville, de Juan les Pins ou de Tel-Aviv pour avoir entendu l’un d’entre eux éructer dans son téléphone portable le récit échevelé de sa dernière partie de poker, ou s’échanger l’adresse encore confidentielle où aller déguster un couscous boulettes ou une pkaila savoureuse à souhait.

De surcroît, le juif tunisien ne connaît pas la discrétion.

Ce n’est pas prévu dans ses gènes et cela reste incompatible avec son statut social.

Vous pouvez être assuré que celui qui arbore sur son torse huileux la plus grosse étoile de David en barbotant dans la piscine du Sheraton se trouve être un à coup sûr un de ces scélérats appartenant à cette communauté des plus équivoques.

En usurpant l’identité de ce Paul Bismuth qui si ça se trouve, circonstance encore plus aggravante, n’est même pas d’origine tunisienne, nos deux comparses ont agi non seulement avec une légèreté coupable mais de surcroît ils ont pris le risque de renforcer encore un peu plus cet antisémitisme féroce qui travaille la société française depuis toujours.

 

Il y a eu l’affaire Alfred Dreyfus.

Il y aura désormais l’affaire Paul Bismuth.

L’histoire est décidément un éternel recommencement pour le juif apatride et cosmopolite.

 

La vérité si je mens…

 

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16 commentaires pour “Le couscous boulettes de Sarkozy”

  1. C’est votre part ashkenaze qui a écrit ce billet?

  2. j’ai du mal à vous suivre aujourd’hui !
    bismuth…moi je ne connais que le médicament du même nom pour corriger l’acidité de l’estomac, pour calmer les brûlures… il va peut être en avoir besoin maintenant :))

  3. Hi hi.
    (Sarkozy, c’est apparemment plutôt les boulettes qu’il accumule. Le couscous manque un chouïa, dans tout ça.)

  4. Pas mal,pas mal !
    Beaucoup de vrai dans ce vous écrivez ,mais parmi tout les qualificatifs que vous avez attribué au “juif Tunisien”,que je suis ,vous avez oublié de mentionner le qualificatif de “gentil”,car bien que ,très peu discret, le Juif Tune est gentil et bon vivant.
    Nous sommes une minorité bruyante.
    La léthargie n’est pas le fort des Juifs Tune comme vous l’avez constate,et c.est mieux ainsi, n’en déplaise aux jaloux et aux incapables, inutiles à cette belle nation qu’est la France!
    Que D’ bénisse la France et son peuple qui nous a accueill .

  5. Bravo, c’est tout ce que j’ai toujours eu envie de dire sur les “tunes”.
    Mais vous n’allez pas vous faire que des amis: j’en connais même d’assez primaires qui ne comprennent pas du tout le second degré.

  6. Le juif est, comme n’importe qui, doté de nationalité(s) ou apatride. Or, vous imaginez Paul Bismuth en juif tunisien. Il est donc muni de patrie. La longue et élogieuse tirade sur les juifs nés et vivant encore (ou ayant vécu) en terre carthago-romaine, etc., etc., ne requiert aucun complément. Ni commentaire, sinon celui d’un juif tunisien, par définition à même d’apprécier la verve et l’humour déployés dans le portrait que vous brossez pour vos lecteurs de « la clique de juifs tunisiens qui dominent le monde depuis des générations du haut de leur arrogance huileuse ».

    Quant au « risque » pris par MM. Sarkozy et Herzog « de renforcer encore un peu plus cet antisémitisme féroce qui travaille la société française depuis toujours », il semble mineur. En effet, les « deux comparses » – sauf à les en supposer eux-mêmes dénués (ce serait insultant) –, prêtèrent certainement aux grandes oreilles collées à leurs honorables bouches, cette fine saisie du second degré qui honore la police judiciaire française.

    Non, ce qui serait gênant est une thèse alternative, celle du bismuth, élément chimique de symbole Bi, qu’en 1753, Claude Geoffroy le Jeune sépara du plomb. Rare, ce métal est connu pour la toxicité de ses sels et vapeurs. Il faut donc s’interroger : avoir pris pour alias « Bismuth », fut-ce hasard, ignorance des secrets de la chimie, ou bien bravade à l’égard des juges ?

    On pourrait aussi creuser la notion de toxicité, mais cela relève de la réflexion privée.

  7. Ah bonjour,
    Au début, il faut dire que je ne comprenais vraiment pas.
    Mais le 2ème degrès est vite apparu.
    cela doit être à cause de l’excès d’harissa et de loukoum.

  8. Grâce à l’internaite, je me suis rendu compte que les libéraux apprécient Poutine. Moi aussi d’ailleurs, mais pas pour les mêmes raisons qu’eux. Je me souviens que quelques jours après la Grande Révolution Ukrainienne avec les Jolis Drapeaux Bleus et Jaunes, nos amis libéraux étaient plutôt contents de voir Poutine affronter les révolutionnaires bobos-gauchos en Crimée rien qu’avec sa grosse paire de couilles. Comme si Hollande était l’organisateur du coup d’é…, euh, de la Révolution Bleu et Jaune. Mieux : comme si Hollande était de gauche…
    Et là, patatras ! Grâce à l’innocente bêtise de mademoiselle Nuland, nous apprenons que tout cela n’était qu’une énième machination de la World Company et de ses innombrables petits soldats que l’on pourra sans trop se tromper qualifier de libéraux. On s’abstiendra évidemment de parler des bobos-gauchos (ou en tout cas des gens appelés comme tels par les libéraux), dont l’analyse de la Révolution a plané si bas qu’on se demande si elle n’était pas téléguidée à la façon d’un drône de combat communicationnel.
    Ah ! “libéraux”, “gauchos-bobos”, ces termes signifient-ils réellement quelque chose ? Et si on parlait plutôt de couillons ?

  9. le seul interet de ce post : la photo de sarko et carla
    meme pas une caricature !

    sinon après les commentaires leche-cul, les commentaires leche-cul et communautaristes
    “super, moi aussi je suis juif tune”

    “débats et idées” : ca progresse…

    elle est où la recette du couscous ? faut il y mettre des fèves ? un antisémite ou un raciste peut il en manger ?
    est-ce que ça fait péter ?

  10. Eh bien moi qui suis goy, les Juifs, qu’ils soient ashkenaze ou sépharades, je les adore ! Je me souviens avec précision d’avoir assisté à la noce d’une de mes camarades de classe à la synagogue où officiait le Rabbin Eisenberg, à la fin des années soixante. Il soulignait le côté extraordinaire de cette union : elle, Irène – cheveux blonds comme les blés en longues vagues bouclées et yeux bleus en amande, beauté sépharade qui m’avait toujours fascinée quand nous étions dans les petites classes où on nous faisait réciter la prière et où elle se taisait bien droite – lui Marcel, beau méditerranéen ombrageux et sec, professeur de mathématique venu de Sfax. Jamais je n’avais vu de cérémonie aussi gaie, aussi bruyante, les femmes parées de leurs plus lourds bijoux, les enfants gambadant, des trucs que je ne comprenais pas se passaient devant, sous un dais.Mon mari et moi étions les seuls goys de l’assistance, mais personne ne nous l’a fait remarquer. Apprécier, admirer et aimer les Juifs, c’est grâve docteur ?

  11. Paul bis mèth… Vive Paul Bismuth le vrai.

  12. En effet Marie-Pierre vous n’avez pas été bernée, la synagogue ce n’est jamais austère c’est toujours la bonne ambiance, la joie, on se mélange on discute les enfants se libèrent etc…même le Rabbin est de la partie.

  13. De mon humble souche catho-sépharo-azkhéno-colonio-musulmane, je dois vous avouer que je trouve ma race bien supérieure à vous tous.

    D’ailleurs j’ai établi un protocole de fond. Je vais vous éliminer un par un et vous dominer tous.

    Cdt.

  14. Monsieur Sagalovitsch ,vous donnerez votre fille a un séfarade ?

  15. j’ai bien ri et de bon cœur,parce que c’est tres spirituel.

    Sarko et Herzog sont surement des taupes, des agents doubles ,de l’antisémitisme internationale, dans lequel les Sépharades trempent eux memes parce qu’ils sont partout. et tout cela est en secret diligenté par le Mossad, y compris le couscous et les gâteaux huileux .pour empoisonner les autres.

  16. Paul Bismuth est une identité commune ; il suffit d’ouvrir un annuaire téléphonique pour en connaître le nombre en France et ailleurs (canada et Tunisie).

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