A l’occasion du clasico espagnol FC Barcelone-Real Madrid (ce soir au Camp Nou) nous ressortons de nos cartons ce vif débat: qui, de Messi ou Ronaldo, est le meilleur joueur du monde? Marca y va de son infographie. Notre normand national, lui, s’était fendu il y a quelques mois d’une enquête sans concession sur le sujet. Il avait juste oublié de préciser que le meilleur, en vrai, c’est Youssef El-Arabi.
Depuis son quadruplé en Ligue des Champions mardi soir, le Barcelonais est l’objet de toutes les dithyrambes, y compris sur Slate. Normal, il le mérite. Mais le plus fort reste son rival madrilène, Cristiano Ronaldo. Le Portugais a toutes les qualités de Messi, mais est plus puissant et a un excellent jeu de tête. La preuve en images.
Quelles sont les qualités de Leo Messi ? D’abord une technique hors norme, remarquablement symbolisée par sa conduite de balle. Ensuite sa vitesse de course et d’exécution: à peine touche-t-il la balle qu’il est déjà parti en sprint, le cuir collé à l’extérieur du pied gauche.
lire le billetDébut décembre, on saura où seront organisées les prochaines Coupes du Monde 2018 et 2022. Les gagnants vont ensuite présenter dans les prochains mois leurs mascottes, censées représenter les valeurs de la patrie, l’amour du football et le respect des autres nations, tout ça à la fois. Petit revival en vidéo des anciennes mascottes. Elles nous manquent (ou pas).
Mascotte mythique pour les Français, Footix a même donné lieu à une expression, «être un footix», désignant ceux qui ne suivent pas très attentivement le football mais qui donnent leurs avis. En gros, 60 millions de personnes, sauf Cherif Ghemmour de SoFoot. La vidéo ci-dessous est l’intro du jeu de foot World Cup 98 sur Playstation. Footix se fait shooter par un mec en jaune, qui ressemble aux couleurs de la Roumanie. Il prend cher (à partir de 41 secondes). Jouissif.
lire le billetDeuxième volet de notre série sur les bâtisseurs des stades de l’Euro 2016, organisé par la France. Aujourd’hui, zoom sur les rénovations prévues, de la meilleure exploitation commerciale du Parc des Princes au couvrement du Vélodrome.
Vinci, Eiffage, ou Bouygues? Les trois géants du béton se régalent d’avance de l’organisation de l’Euro 2016 par la France. Une dizaine de stades seront rénovés ou sortiront carrément de terre. PDPS passe au crible ce jackpot. Première partie.
En 2016, la France accueillera l’Euro. Une bonne occasion de rénover (1) les plus grands stades du pays, en le faisant passer sur le compte de “l’intérêt général”. Ça devrait coûter au total 1,7 milliard d’euros. L’Etat donnera seulement 150 millions d’euros. Le reste est à la charge des collectivités locales, pour le plus grand bonheur des grandes boîtes de BTP (Bouygues, Vinci, Eiffage…), qui vont non seulement remplir leurs carnets de commandes pour les six ans à venir, mais aussi, dans la plupart des cas, gérer commercialement les enceintes pendant 30 ans. La clé de ce juteux business: le fameux “Partenariat public-privé” (PPP), qui assure au bâtisseur une redevance, ainsi que l’exploitation du site. Premier volet, les constructions.
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Sélection des raps de Ligue 1 les plus authentiques, du flow ouvriériste et nostalgique de Sochaux à la hargne lilloise anti-JMA.
Ce titre accrocheur a retenu votre attention? Réjouissez-vous, chers lecteurs, ce n’est que le début. Vous avez sous les yeux la première rubrique récurrente de “Plat du pied, sécurité”. A raison d’une périodicité pour l’instant aléatoire, et grâce aux bons conseils de nos amis de Slate.fr, nous allons vous offrir, désormais, une sélection de vidéos sur un thème particulier. Notre modèle? L’excellente série “The Joy of Six” sur le site du Guardian, qui revisite, semaine après semaine, les meilleurs penalties, les plus beaux Arsenal-Chelsea, les légendes du dribble… Pour cette inauguration, on débute par un best of des hymnes rappés.
On était presque en train d’oublier… Laurent Blanc commençait à rendre les matchs de l’équipe de France potables, Paris s’amusait à souligner les carences défensives marseillaises, Aulas gueulait dans les couloirs et les joueurs de Lens se tapaient dessus. Bref la France du foot voguait paisiblement sur les flots de la Ligue 1, loin du cauchemar de Knysna…
Hélas! Deux événements nous replongent dans les tumultes du dernier Mondial. Honnêtement, l’échec – attendu – des états généraux du football nous laisse de marbre. Mais le retour sur le devant de la scène, le même jour, de Domenech et des primes des joueurs pour le Mondial, c’est trop.
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