On vient de l’apprendre : Gale Anne Hurd, la productrice de The Walking Dead, va s’occuper de l’adaptation à la télé de Zone 51, une série sur… la zone 51, fameuse base militaire où se cacheraient les secrets extraterrestres découverts par les Américains. Autrement dit, une histoire de petits hommes verts. Du coup, après avoir testé les hommes les plus demandés des séries, je me suis dit que j’allais faire une petite compet’ de « monstres », au sens large du terme : vampires, loups-garous, zombies, sorcières et aliens. Qui est le plus intéressant, qui est le plus tendance, qui est mon favori : comme dirait un des acteurs du pilote de The Walking Dead : Arrrgggllleeeeuuhhh. Lire la suite…

Enfin, ce n’est pas aussi simple que ça. Disons plutôt ceci : selon une étude très sérieuse (comme on dit) d’Experian Simmons, une boîte américaine d’analyse médiatique, neuf des dix séries qui dominaient les audiences US au printemps 2010 étaient plébiscitées par des téléspectateurs se revendiquant Républicains et Conservateurs. Ce qui ne veut pas dire que lesdites séries sont elles-mêmes Républicaines, mais au moins qu’elles véhiculent des valeurs qui plaisent aux électeurs de droite (on se permettra de faire un raccourci un peu simplificateur entre droite et républicains, gauche et démocrates). Moi qui pensais qu’Hollywood était un bastion de gauche… Lire la suite…

Elles sont en tête des audiences, en Une de la presse, à la télé, à la radio, partout sur la toile, mais les séries n’avaient pas encore leur festival grand public, ouvert à tous, et à Paris. Il y avait certes diverses manifestations, de La Rochelle à Aix les Bains en passant par Luchon et Monaco (surtout un festival pro), mais aucune qui regroupe à la fois les grosses productions américaines et les séries françaises, aussi bien Dexter, The Wire que Fais pas ci, fais pas ça. La semaine prochaine, du mardi 6 au dimanche 11, Séries Mania tentera de relever le défi depuis le Forum des Images, aux Halles, à Paris. Lire la suite…

S’il fallait une preuve que l’industrie des séries américaines ne va pas fort ces jours-ci, ce serait celui-là : on n’a jamais vu autant de remakes, suites plus ou moins officielles et autres réécritures opportunistes de « classiques » du petit écran. En deux ans, l’inflation a été permanente dans ce sous-genre rarement inspiré. Depuis septembre, ont ainsi tenté leur chance Melrose Place (la première nouveauté de la rentrée, tout un symbole), Eastwick (adaptation d’un film, ça compte aussi), V et Le Prisonnier. Quelques noms fameux qui viennent s’ajouter à Beverly Hills (90210 en l’occurrence), K2000, Super Jamie ou encore Terminator (adapté d’un film là aussi). Lire la suite…