Je ne regarde pas Pretty Little Liars. J’admets que la série d’ABC Family peut avoir un petit côté plaisir coupable, mais ce n’est pas mon plaisir à moi — je dois être trop vieux et trop masculin pour ces c…, comme dirait l’autre. Bref, ce matin j’allume mon smartphone (pas de pub pour autre chose que Community et Louie sur ce blog), et je lis que @ABCpll est le sujet télé le plus twitté de l’année 2011, devant Two and an Half Men, qui pourtant a sacrément fait jaser. Impressionnant. Du coup, je me fends d’un petit post pour tenter d’expliquer ce phénomène. Lire la suite…
lire le billetPour les fans de séries adeptes de twitter (j’y suis @MrSeries), le départ du créateur de Sons of Anarchy Kurt Sutter (anciennement @sutterink) du site a été l’événement du week-end. Il a lui même expliqué cette décision via son blog, sutterink.blogspot.com. Tout à fait compréhensible, elle met néanmoins fin à un des comptes les plus réjouissants de la toile, défouloir d’un homme talentueux mais étonnement méprisé par le petit monde de la télé. Car, que l’on soit fan ou pas de SoA, il faut reconnaitre à Sutter un ton à part et un certain sens de la dramaturgie, qui auraient du au moins lui offrir quelques nominations aux Emmys. Il y a à peine un moi, je rencontrais Kurt Sutter et l’équipe de Sons of Anarchy au Comic-Con, et leur demandait, justement, leur avis sur ces fameux twitts de Sutter. Voici leur réponse à l’époque… Lire la suite…
lire le billetPlus ça va, moins j’ai de sympathie pour Glee. Je n’ai rien de bien méchant contre la série elle-même, aussi inoffensive qu’un sachet de frites Haribo – c’est sucré, ça picote, mais si on en mange trop, c’est écœurant. Musicalement, c’est totalement insipide, mais les personnages sont attachants et le tout est suffisamment bien écrit pour qu’on s’y laisse prendre. Non, que les fans de Glee se rassurent, je n’ai rien contre leur programme préféré. Ceux qui le font, en revanche, commencent à m’être antipathiques. Lire la suite…
lire le billetCe type-là va mal finir. Ce n’est pas moi qui lui ferait mal, mais un jour, une de ses cibles va craquer et lui en coller une. Kurt Sutter, le créateur de Sons of Anarchy, ancien de The Shield, possède la plus grande gueule du monde des séries, le caractère le plus trempé, et le blog le plus incroyable du moment, où il envoie balader tous ses détracteurs à coups de petits noms pas toujours raffinés. Et comme si ça ne suffisait pas, il twitte. Personnage entier, forte tête, auteur d’une bonne série, Sutter mérite le respect. Sa prose, elle, laisse pantois, à la fois sidéré, hilare, accablé et rafraichi. Ce lundi, j’ai décidé de vous traduire son dernier post, où il s’en prend violemment… aux critiques de séries. Morceaux choisis. Attention, âmes sensibles s’abstenir. Lire la suite…
lire le billetIl y a quelques temps de cela, je vous parlais ici même d’une sympathique expérience de communication en ligne, lancée par la chaîne britannique E4 autour de sa (très réussie, répétons-le) série Misfits : pendant la diffusion des épisodes, certains “personnages” (via leurs acteurs) twittaient en direct, commentaient les scènes, réagissaient aux réactions des fans. Amusant. Depuis cette semaine, Nurse Jackie, série qui démarre sur Canal+ le 1er avril, va plus loin. Un de ses personnages, le Docteur Fitch “Coop” Cooper (photo ci-dessus), est devenu accro à Twitter, et passe sa journée à envoyer des messages via son Blackberry plutôt que de s’occuper de ses patients. Messages qui finissent, en temps réel, sur le vrai Twitter… Lire la suite…
lire le billetLa frontière entre les héros de séries et les téléspectateurs est de plus en plus mince. Après Fringe, la série de J.J. Abrams, qui avait accompagné au début de l’automne un de ses épisodes d’un « twittage » live d’une partie de son casting, Misfits, nouveauté de la chaîne britannique E4 (Skins, Dead Set), passe à la vitesse supérieure. Depuis le lancement de la série, il y a un mois, ce sont carrément deux des personnages (via leurs acteurs) qui twittent lors des diffusions, via le Twitter de la série. Un procédé censé combler les ados, principale cible de Misfits, incapables de regarder la télé sans pianoter sur leur ordinateur en même temps. Lire la suite…
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