Dans le best-of n°7 de L’Hebdo Séries, un homme, un seul : Ryan Murphy, de Nip/Tuck à American Horror Story en passant par Glee. Et en interviews, bien entendu !
lire le billet
Cette semaine, l’Hebdo Séries tire le portrait de Ryan Murphy, l’emphatique créateur de Nip/Tuck, Glee et American Horror Story. Génial ou agaçant ?
lire le billetY’a des séries comme ça, qui vous hérissent le poil, qui vous agacent, que vous détestez, que vous ne souhaiteriez même pas à votre pire ennemi. Des séries qui révoltent vos goûts, qui agressent votre intelligence critique, qui vous font bondir sur votre compte twitter pour déverser un torrent de grognements. Pour moi, il y a eu Spartacus, en une moindre mesure Les Tudors et Pretty Little Liars. Des séries au fond divertissantes, mais qui révèlent sous leurs atours des mécaniques vulgaires et une vilaine tendance à flatter les téléspectateurs à coup de provoc’ gratos et autres ficelles grosses comme un câble de téléphérique. Mon nouveau souffre-douleur s’appelle American Horror Story, et il l’a bien cherché. Lire la suite…
lire le billetJ’ai failli me faire avoir. Mis en appétit par les promesses racoleuses d’American Horror Story, j’en avais fait une des mes favorites de la rentrée US. Je me disais que ce serait tordu, captivant, mystérieux. Son casting avait fini de me séduire. J’en avais oublié ce que je pense des séries précédentes de Ryan Murphy, de Nip/Tuck, forte pendant une poignée de saisons avant de se vider de toute substance, ou de Glee, monstre marketing « feel good », fun un temps, rapidement barbant. Après trois épisodes d’intense tolérance, j’ai laissé tomber. American Horror Story est officiellement ma grosse déception de la rentrée. Lire la suite…
lire le billetPlus ça va, moins j’ai de sympathie pour Glee. Je n’ai rien de bien méchant contre la série elle-même, aussi inoffensive qu’un sachet de frites Haribo – c’est sucré, ça picote, mais si on en mange trop, c’est écœurant. Musicalement, c’est totalement insipide, mais les personnages sont attachants et le tout est suffisamment bien écrit pour qu’on s’y laisse prendre. Non, que les fans de Glee se rassurent, je n’ai rien contre leur programme préféré. Ceux qui le font, en revanche, commencent à m’être antipathiques. Lire la suite…
lire le billetDepuis quelques temps, Ryan Murphy, le créateur de Glee, se déchaine contre ceux qui refusent de voir leur musique reprise dans sa série. Après Slash, le guitariste de Guns n’Roses, et Kings of Leon, c’est au tour des Foo Fighters de se… fighter avec l’ancien créateur de Nip/Tuck. Visiblement, Murphy n’aime pas qu’on s’oppose à sa volonté, encore moins qu’on critique, avec la délicatesse qu’on connaît aux rock stars, son œuvre. L’échange d’amabilités né de ces bisbilles est une chose. La défense de Murphy en est une autre… Lire la suite…
lire le billetGlee a beau connaître quelques déconvenues dans les audiences ces temps-ci, elle truste avec une remarquable constance la scène médiatique. Ryan Murphy, son créateur, était connu pour son sens de la provocation. Le voici devenu maître es communication. En ce samedi matin, il y a pas moins de 4 articles sur la série de la Fox en une du site du Hollywood Reporter. Dont deux vidéos particulièrement tentantes (voir en fin de post). Je ne suis pas un inconditionnel de Glee, mais j’ai l’impression de vivre les deux pieds dedans… Lire la suite…
lire le billetMardi dernier, Glee faisait son retour sur la Fox, aux États-Unis. La série de Ryan Murphy, le créateur de Nip/Tuck, a emballé les compteurs, frôlant la barre des 15 millions de téléspectateurs. Une manifestation supplémentaire du succès inattendu de cette série, qui est en train de devenir un phénomène médiatique outre-Atlantique avant, peut-être, de casser la baraque chez nous (d’abord, pour les abonnés d’Orange Cinéma Séries, puis sur M6 dans un futur indéterminé). Glee est une bonne série, pas un chef d’œuvre, mais un programme “feel good”, comme on dit, capable de vous remonter les moral en quelques scènes bien senties. Surtout, c’est une série musicale (pas une comédie musicale, car les parties chantées ne sont que des numéros isolés). Or, le genre, à la télé comme au cinéma, n’est pas au mieux de sa forme. Lire la suite…
lire le billet
On en parle