C’est bien connu, le football est le sport le plus universel qui soit. Et le plus beau vecteur patriotique jamais inventé. Rançon de l’universalité, la surmédiatisation, qui ne plaît aux footeux, comme aux politiques et aux artistes, que lorsqu’elle leur est profitable. C’est à dire bankable.
Il y a peu de pays où le foot et la sélection ont autant d’importance qu’en Argentine. D’où l’inexorable besoin de se lâcher de Diego Maradona, au bord du précipice et remis en cause dans sa stature de demi-dieu par une presse indignée par les performances des joueurs.
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