Le pouvoir de recommander des infos sur les réseaux sociaux (étude Pownar)

POWNAR. Ce n’est pas le nom d’un nouveau jeu pour enfants, mais l’acronyme de The Power of News And Recommandation, une étude sur les informations diffusées sur les réseaux sociaux réalisée par CNN sur 2.300 sondés habitants dans 11 pays différents. Voici les chiffres clés de cette étude.

– Seuls 27% des utilisateurs (du panel?) partagent des informations. Sont comptés dans ces 27% ceux qui partagent plus de 6 contenus par semaine. Mais à eux seuls, ils diffusent 87% des informations partagées sur les réseaux sociaux. Là encore s’applique la loi de Pareto, autrement dit la loi du 80/20, selon laquelle environ 20 % des moyens permettent d’atteindre 80% des objectifs.

– 43% des informations partagées le sont par le biais des réseaux sociaux (Facebook, Twitter, YouTube, MySpace), 30% des infos le sont par email, 15% par SMS, et 12% par messagerie instantanée.

– En moyenne, un utilisateur partage 13 liens par semaine, et en reçoit 26, par recommandation sur les réseaux sociaux ou par email.

– Les contenus issus des rubriques «business», «international» et «technologie» sont ceux qui sont les plus partagés sur les réseaux sociaux.

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3 commentaires pour “Le pouvoir de recommander des infos sur les réseaux sociaux (étude Pownar)”

  1. […] Ce billet était mentionné sur Twitter par Adngold, Guilllaume Gartioux et ATTYPIQUE (Avec 2 t), News for Geek. News for Geek a dit: Le pouvoir de recommander des infos sur les réseaux sociaux (étude Pownar) (W.I.P. (Work In Progress)): POWNAR. … http://bit.ly/f00Mn2 […]

  2. Je crois qu’il y a une erreur :

    27% des gens qui partagent générent 87% du trafic mais on ne sait justement pas quel est le % global des utilisateurs qui partagent (en tout cas je ne le vois pas chez l’observatoire des medias).

    C’est bien le problème de cette étude : les “power users” sur-consomment et sur-participent. Mais combien pèsent-ils?

  3. J’ai parcouru le site : http://cnninternational.presslift.com/socialmediaresearch

    A priori l’étude porte sur un panel de gens sélectionnés parce qu’ils échangent des news d’une manière ou une autre. Leur comportement est donc “atypique” et si on ne peut évaluer leur nombre ou leur proportion dans l’audience globale du site on ne peut en tirer de conclusion sur l’impact global de ces utilisateurs.

    Si on applique non la loi de Pareto mais celle qui dit que les “power users” ne représentent que 1% d’une audience cela siginifie que toutes les données de l’étude ne pèsent que dans la limite de ces 1%

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