Cette semaine, l’Hebdo Séries se demande comment a évoluée la famille américaine depuis la naissance des séries, et revient sur sa modernisation avec les acteurs de Modern Family, Desperate Housewives, Parenthood et Shameless en interview.
lire le billetOn poursuit le bilan de cette année 2011, toujours en considérant les séries lancées entre janvier et décembre – et non pas simplement depuis la rentrée. Après la catégorie chargée des drames, on passe aux comédies, catégorie… nettement moins chargée. J’ai beau avoir fait trois fois le tour de la liste des nouveautés comiques, j’ai peiné à trouver dix nouveautés sur lesquelles j’avais quelque chose à dire… Du coup, j’ai décidé de faire un Top 5. Mieux vaut resserrer que de dire n’importe quoi (A la fin, j’ai quand même glissé quelques commentaires sur d’autres programmes). Encore une fois, ce classement est très américain. Encore une fois, j’ai peut-être oublié quelque chose. Et encore une fois, si des séries anglaises (lancées en 2011) méritent d’y être, éclairez-moi. Lire la suite…
lire le billetTout au long de l’été, retrouvez chaque semaine le meilleur de l’Hebdo Séries avec nos best-of thématiques. Cette semaine le best of de l’Hebdo Séries s’adapte ! SKINS US, LIFE ON MARS, NIKITA ou encore THE OFFICE sont autant d’adaptations US de séries étrangères. Pourquoi la télé américaine aime tant les remakes ?
L’Hebdo Séries, c’est votre émission de référence sur les séries. Chaque jeudi, retrouvez toute l’actu de vos séries préférées en 7 minutes chrono ! News, reportages, interviews, tendance, sélec…
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lire le billetJe fais la promotion des séries états-uniennes à longueur de journées. Je participe activement à entretenir cette idée – difficilement contestable – que la production américaine (du câble essentiellement) est un cran au dessus du reste du monde (maj : de ce qui parvient jusqu’à nos petits écrans et jusqu’à mes yeux tout du moins 🙂 ) – seuls les plus fervents défenseurs de la télé britannique pourraient me contredire sans mauvaise fois. Je suis en même temps pour la diversité culturelle, contre toute hégémonie d’Hollywood sur le reste de la planète séries. Position compliquée, je l’admets. Je m’indigne ainsi de la diffusion confidentielle – voire de la non diffusion – chez nous de certaines des meilleures séries américaines, tout en regrettant que les productions françaises n’aient pas une meilleure exposition. Symbole de cette position complexe, je me suis récemment découvert une aversion de principe contre les remakes d’œuvres européennes outre-Atlantique. Ma réaction, instinctive, partait d’un « pourquoi refaire une série qui est satisfaisante dans sa version originale ? » Avec un peu de recul, j’ajouterai ceci : les remakes sont des formatages, des uniformisations reniant la richesse d’œuvres originales pour « américaniser » tout ce que l’étranger sait faire de mieux qu’Hollywood. Lire la suite…
lire le billetCette mi-saison 2010-2011 pourrait bien marquer un changement majeur dans la relation passionnelle qu’entretient la télé américaine avec sa cousine britannique. Jusqu’ici, les remakes de succès britishs prenaient généralement la porte sans faire de bruit, annulés après une poignée d’épisodes. Récemment, Life on Mars ou Eleventh Hour avaient expérimenté le foireux système. Rares, très rares étaient les remakes comme The Office à avoir réussi leur coup. On n’attendait donc assez peu des trois remakes en dix jours — un record — proposés en ce début d’année. Pire, Shameless (Showtime), Skins (MTV) et Being Human (SyFy), toutes les trois très bien en version originale, devaient nous déplaire, et faire un bide. A défaut de nous combler, elles ont assurées, et ont battu des records d’audience. Lire la suite…
lire le billetOu alors, juste le premier épisode, pour faire mon boulot. Pourquoi ? Parce que j’ai, foncièrement, un problème avec les remakes, qui sont bien souvent ratés. Et parce que les remakes de séries britanniques sont encore plus souvent foireux (ne me parlez pas de The Office, c’est un vilain contre exemple, même si tous les fans de Ricky Gervais vous diront que la version britannique était meilleure). Surtout, je ne suivrai pas Skins version US parce qu’elle n’est qu’un vague copiée/collée de son modèle, avec une bonne partie du script, certains dialogues (adaptés au parler américain), certains plans (voyez dans le trailer ci-dessous la scène du réveil de Tony) et même certains des noms des personnages originaux. Un procédé marrant cinq minutes pour les amateurs d’exercices de style, mais complétement vain d’un point de vu artistique. Lire la suite…
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