Cette semaine, l’Hebdo Séries se demande si les séries ados françaises ont changé depuis Premiers baisers…

Il arrive que je ne sois pas trop sûr de quoi bloguer. Dans ces moments-là, je vais en ligne, et je me balade. Ça peut aider. Je me baladais donc il y a quelques minutes sur le site du Hollywood Reporter, et je suis tombé sur le genre de portfolio que, dans mes rêves, je pourrais un jour réaliser (je fais aussi de la photo, à titre personnel) : une poignée de showrunners et leurs bureaux. Matthew Weiner, Kurt Sutter, Josh Schwartz (ci-dessus), Stephanie Savage et Elizabeth Meriwether (New Girl), trois ou quatre clichés chacun, quelques mots, la classe quoi (même si on aimerait en voir plus). Du coup, parce qu’on est samedi, parce qu’il fait un temps bien pourrave, et parce qu’un blog ça sert aussi à relayer des infos intéressantes, je vous la refais, en VF. Pour l’original signé Lacey Rose pour le Hollywood Reporter, c’est ici. Lire la suite…

Quand on déconne (même un peu) avec la politique, mieux vaut le dire tout de suite. Donc, je le dis. Ce post est un exercice inspiré par la campagne présidentielle où, ça n’a rien d’étonnant (le sujet n’est guère grave), les candidats ne se sont guère souciés de l’état des séries en France (et de la consommation des séries étrangères en France). Du coup, en attendant le second tour de dimanche (où le sériephile, qui est aussi un citoyen, sera inspiré d’aller voter), je me suis demandé : si un candidat du Parti des Sériephiles (P.S…) se présentait, quelles pourraient être ses 10 propositions phares ? Lire la suite…

Me disant que ça pourrait intéresser certains lecteurs de ce blog, je mets en ligne la masterclass que j’ai eu la chance d’animer avec Dominic “McNulty” West, de The Wire, au Festival Séries Mania mi-avril.

Rencontre exceptionnelle avec Dominic West (VO)

Ce week-end, la chaîne câblée américaine A&E a lancé une bande-annonce complète de Longmire, sa nouvelle série. Un polar dans le fin fond du Wyoming, écrit par des mecs qui ont bien aimé Justified (en fait, deux anciens de The Closer), et dont le héros, Walt Longmire, est visiblement un vieil ours à fusil et chapeau de cowboy, grognon pas commode qui ne se formalise pas avec les politesses d’usage – et qui n’a pas de téléphone portable, signe ultime d’une asociabilité crasse. Bref, tout l’inverse du flic qui « serve & protect », comme on dit outre-Atlantique. Ou plutôt qui protect en laissant des bleus et qui serve quand il veut. En fait, un flic comme on en voit plein la télé américaine en ce moment… Lire la suite…