Puisque le Gouvernement veut qu’on parle de notre identité nationale, parlons de celle des séries. Ça tombe bien, ces dernières semaines, les deux extrêmes de ce qui fait notre fiction s’opposent. D’un côté, les séries et téléfilms de TF1, « fédérateurs », grand public, soi-disant si chers à la fameuse ménagère. Exemples : Camping Paradis ou Père et maire. De l’autre côté, Canal+ et ses séries novatrices, complexes, exigeantes, mais qui, ô bonne surprise, marchent. En l’occurrence, Braquo et Pigalle, la nuit. Entre les deux camps, un fossé, un gouffre, un canyon, que dis-je un océan. Et pourtant… Lire la suite…
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