Putain, Kenny, t’en va pas !

KennyP

On a tant parlé de la fin de Breaking Bad, tant raillé celle de Dexter, tant redouté celle de Treme, qu’on en viendrait presque à oublier celle d’une des meilleures comédies de ces dernières saisons, et celle d’un des antihéros comiques les plus forts des années 2010 : le héros de Eastbound & Down, Kenny Powers, ou Kenny Fucking Powers pour les intimes. Mort et ressuscité, cette figure christique (c’est lui qui le dit) aura porté la comédie à des sommets de beaufitude, de vulgarité, de machisme, de bêtise, de stylisme capillaire… et de subtilité, durant quatre saisons inoubliables de connerie et bouleversantes d’humanité. Parce qu’il est le plus grand, le plus fort, le plus beau, le plus sexy, parce que le monde entier devrait lui ressembler, parce qu’après Kenny Fucking Powers, ça ne servira plus à rien de regarder la télé (c’est lui qui le dit), mon putain d’hommage, en version non censurée. Lire la suite…

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