Le péplum de Starz entame sa dernière saison à la télé française, sur OCS. L’occasion de demander à son équipe s’ils font un plaisir coupable ou… un gros nanar.
Quel dommage pour un “professionnel” d’enfoncer les portes ouvertes de cette façon sur Spartacus.
Cette analyse “nanar ou plaisir coupable” me semble impossible pour quelqu’un étant allé au bout de la série. Est-ce que je me trompe ?
La série avait très mal commencé, avec un pilote catastrophique, mais à fini par trouver son identité visuelle et narrative durant la saison, s’améliorant ensuite saison après saison, pour atteindre un degré épique jamais vu à la télévision, et rarement même au cinéma. Surtout, elle fait preuve d’un talent de storytelling hors du commun qui fait défaut à nombre de séries plus prestigieuses qui se complaisent dans leur direction artistique.
Dès lors l’esthétique violence + sexe (qui, franchement, ne dénote pas tant que ça dans un péplum sur des gladiateurs !) devient secondaire, et s’y attarder à ce point en en faisant le premier degré de lecture de la série c’est vraiment aborder Spartacus par le petit bout de la lorgnette.
Moi aussi j’aime beaucoup Spartacus.
AU début plaisir coupable, pour devenir un vrai plaisir de série au fur à mesure des saisons, y compris le spin-off qui était d’assez bonne qualité.
Sous son aspect baroque et kitsch, elle n’est pas très différente des autres séries historiques, et ne mérite pas l’intitulé de “nanar”.
C’était une bonne série, et je regrette son arrêt.
Quel dommage pour un “professionnel” d’enfoncer les portes ouvertes de cette façon sur Spartacus.
Cette analyse “nanar ou plaisir coupable” me semble impossible pour quelqu’un étant allé au bout de la série. Est-ce que je me trompe ?
La série avait très mal commencé, avec un pilote catastrophique, mais à fini par trouver son identité visuelle et narrative durant la saison, s’améliorant ensuite saison après saison, pour atteindre un degré épique jamais vu à la télévision, et rarement même au cinéma. Surtout, elle fait preuve d’un talent de storytelling hors du commun qui fait défaut à nombre de séries plus prestigieuses qui se complaisent dans leur direction artistique.
Dès lors l’esthétique violence + sexe (qui, franchement, ne dénote pas tant que ça dans un péplum sur des gladiateurs !) devient secondaire, et s’y attarder à ce point en en faisant le premier degré de lecture de la série c’est vraiment aborder Spartacus par le petit bout de la lorgnette.
Moi aussi j’aime beaucoup Spartacus.
AU début plaisir coupable, pour devenir un vrai plaisir de série au fur à mesure des saisons, y compris le spin-off qui était d’assez bonne qualité.
Sous son aspect baroque et kitsch, elle n’est pas très différente des autres séries historiques, et ne mérite pas l’intitulé de “nanar”.
C’était une bonne série, et je regrette son arrêt.