Nous nous sommes tant aimés… surtout moi, en fait.

C’est la Saint-Valentin. Alors il faut bien écrire un truc sur l’amour, les amoureux, les petits cœurs et les chocolats Mon Chéri. Du coup, je voudrais avoir une pensée émue pour ces héroïnes de séries que j’ai tant aimées, celles qui ont travaillé mes hormones quand j’étais gosse et celles dont le charme joue encore aujourd’hui, malgré les années et le devoir critique. Pas un classement, parce que ça ferait un peu macho sur les bords, juste une liste de dix héroïnes à qui j’aimerais, en cette Saint-Valentin, rendre un hommage ému (rire ici). Attention, ceci est un post totalement inutile et purement amusé…

Kelly Kapowski (Sauvés par le gong)
Que ceux qui ont une trentaine d’années et sont hétéros osent me dire qu’ils n’ont pas rêvé tenir Kelly, sa permanente et ses minishorts dans leurs bras. Évidemment, j’ai passé l’âge (Kelly avait à tout casser 15 ans), mais j’aurais vendu mes baskets Nike à grosse languette pour un bisous à la cantoche…

Joey Potter (Dawson)
Maintenant qu’elle est mariée avec Tom Cruise, je préfère Jen, mais à l’époque, la brune fragile avait mes faveurs. Comme j’étais plus Dawson que Pacey, j’ai eu un peu la rage, à la fin, mais Joey restera dans mon cœur comme celle qui m’a fait comprendre que l’amour est beau parce qu’il est impossible et que de toute façon, tu peux pas comprendre.

Anita Scheppers (Hartley, cœurs à vifs)
Au lycée, tous les mecs voulaient ressembler à Drazic et sortir avec Anita – et accessoirement aller surfer après les cours, mais c’est chaud quand t’habites dans le 9-1. Anita avait 20 ans en seconde, mais c’était pas grave, parce que Drazic en avait 25. Et pour elle, on se serrait fait un piercing, nous aussi.

Max Guevara (Dark Angel)
Non, je ne suis pas un garçon superficiel. Ok, Jessica Alba + combinaison en cuir + High-kick + moto = aïe, aïe, aïe. Mais, au-delà de ça, Max était une fille fragile, sensible, douce et dure, sensuelle et innocente. Et très, très jolie.

Sydney Bristow (Alias)
Là, c’est le geek qui parle. Non seulement Sydney Bristow était magnifique, mais elle est en plus arrivée sur mon écran au moment où je devenais très sérieusement atteint par le virus sériel. Du coup, j’espérais chaque jour que la CIA allait enfoncer ma porte pour me proposer un poste d’agent double, à moi aussi.

Boomer (Battlestar Galactica)
Starbuck avait du charme, mais Boomer, robot ou pas, reste ma favorite. Plus féminine, plus fragile, et moins mystique que sa collègue. En plus, le numéro 8, ça porte chance non ?

Kate Austen (Lost).
Les hommes aussi ont le droit d’avoir un faible pour les femmes dangereuses. Kate était, il est vrai, assez lourde – surtout sur la fin – mais on pardonnerait tout à ses taches de rousseurs. Si un jour une fille qui ressemble à Kate s’assoie à côté de vous dans un avion, vous aussi, vous aurez peut-être des envies de crash…

Dani Reese (Life).
Il fallait mettre Sarah Shahi quelque part dans cette liste, et comme je ne suis pas une lesbienne, j’ai opté pour l’excellente Life, ce qui me permet de parler (un peu) de séries dans ce post pas sérieux du tout. Shahi est encore plus irrésistible dans Facing Kate, mais quitte à prendre une bonne série…

Jessica (True Blood).
Grâce à Mad Men, les rousses ont fait un retour fracassant dans les séries. Il faudrait être de pierre pour refuser une petite morsure de Jessica, même si, Hoyt l’a bien compris, on a fait plus facile à vivre. Si vous êtes du genre noctambule, c’est le rêve.

Sloan McQuiwick (Entourage).
Ok, j’avoue. Je l’ai planqué au fond de la liste, mais si j’aime bien Sloan, c’est juste parce que son interprète, Emmanuelle Chriqui, est à se damner. Son personnage n’est pas franchement inoubliable, malgré toute la sympathie que j’ai pu avoir pour Entourage…