Junya Watanabe

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Polygone, polyèdre, polytope,…, le carton d’invitation pour le défilé de Junya Watanabe reprend un extrait d’un ouvrage de mathématiques en allemand (Max Bruckner peut-être). Oeuvre au noir au départ, le défilé joue l’orchestration géométrique de formes qui se plient, se déploient, se posent en volumes, en creux. Coiffées de bonnet de bain en latex noir, des silhouettes de danseuses en collant et ballerine s’avancent avec légèreté, mais hiératiques et majestueuses. Vient à l’esprit le souvenir de Maria casares dans Les dames du bois de Boulogne…

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Le masque tombe sur les visages noyés parfois dans des couvre-chefs géométriques, découpage en spirales, mise en orbite. Chapeau cyclope.

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Allure monacale de nonnes aux cornettes en folie.

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Quand la couleur surgit, elle est rouge, écarlate pour découpages origami.

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La rigueur géométrique est parfois bousculée par un zeste d’asymétrie. Ronds découpés ou prédécoupés comme à l’emporte-pièce.

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Merci Euclide.

Un commentaire pour “Junya Watanabe”

  1. Superbe! ?

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