Musique classique en fugue pour une collection où la partition se joue en blanc et noir. Pliage savant, pop up de formes pour floraison de filles fleurs, écolières pas sages aux membres tatoués de graffitis.
Le bibi se pose, pour mieux fricoter. Losanges, géométrie complexe, lanterne magique,… Le tissu s’anime de reflets en équilibre savant.
Écharpes en accordéon pour serpenter autour du cou.
Coiffes hiératiques pour nouvelles princesses espagnoles, Ménines du temps présent. Chapeau abat-jour et femme lampion avec vêtements en volume, à la structure enveloppante. Esquisse d’origami.
La collection s’impose, variation sur deux couleurs martelées comme sur les touches d’un piano. Incongrue, une note rouge surgit ; ondulant en chenille, elle casse le rythme.
Et s’ajoute le gris, souris. Monolithique, hypnotique et absolument Junya.