Jean-Charles de Castelbajac

Avec sa Foxy Lady, Jean Charles de Castelbajac entraîne vers la Grande-Bretagne. Passe le fantôme d’une fille à l’opulente chevelure rousse et se (re)découvre la superbe Ophélie de Millais dans un bain préraphaélite.

 

 

La présentation de la collection à lieu dans une église, un oratoire qui va bien au créateur. S’ajoutent des effets de fumées (fog anglais ?). Des jeux de trompe-l’oeil (torsades de laine, fils barbelés…), graphiques.

De la fantaisie, de l’humour, toujours et de la poésie. L’animal est présent avec le renard qui se pose démesuré sur une robe (le titre hommage de la collection Foxy Lady) ou sur une grande cape rouge. Un poil de fourrure. Des imprimés Ophélie se signent d’une croix noire.

De grands carreaux, (les tartans d’Ecosse), un classique castelbajacien retravaillé façon couverture.

À noter le maquillage simple et original d’une bouche peinte, écarlate et pas l’autre, gommée, signé Uchiide pour Shu Uemura.

 

Les commentaires sont fermés !

« »