
Oeuvre au noir pour Aganovich avec une collection d’une délicate féminité. Très ajustées, les vestes serrent précieusement la taille. Un zeste de blanc avec les chemisiers vient casser le noir.

Cette saison le laçage attache les vêtements, dessine des obliques et se pose aussi sur les chaussures.

Effets de croisillon à même la peau.


Les robes et jupes jouent l’asymétrie et le bord franc. Raffinement des jabots, des longues manches et des cols démesurés.

Se retrouve le travail parfait des drapés, des enroulements, signature du style toujours exquis de Nana Aganovich.


Photos Guillaume Roujas