« The single girl » pour Corrie Nielsen. La femme s’émancipe dans les années 60 et se libère. La collection rend hommage à cette époque avec un souci de géométrie (robe trapèze) sans oublier une silhouette plus couture (dos basculés) avec de grands volumes. Jeu de formes en couleurs, jaune poussin, blanc et brillances et inspiration « papier peint ».
Le satin rime avec boudins pour composer des structures comme à « ressorts ». Jeu de transparences (la femme libérée ?). Un bémol pour la réalisation.