Frank Sorbier

 

Il trace toujours vaillamment la route Frank Sorbier et cherche souvent à surprendre. Cette saison, son défilé relevait du spectacle dans une salle de théâtre (Antoine) avec un fond d‘images assez incroyables, des ciels, des morceaux de films, de petits extraits de Muybridge sur le mouvement des corps (féminins), un pur moment de poésie et aussi une touche de surréalisme. En premier plan, une jeune femme, démiurge, orchestrait le fond sonore, le spectacle, les changements de tenues.

Un mannequin, simplement vêtu d’une longue robe monochrome, s’habillait de projections multicolores, botaniques, robes de Peau d’âne, oiseaux, fleurs… une nouvelle collection en mode virtuel et poétique.

Un beau spectacle, rêve éveillé.

En deuxième partie, autour de la marraine : Shy’m, une rétrospective de modèles redessinant la carrière du couturier.

L’oeil d’Adèle (membre invité de « presque » 10 ans)

« C’est magnifique »

« Oh c’est Shy’m, j’adore »

« Les habits sont originaux, ce sont plutôt des robes, pas de pantalons »

« La première partie était bien, mais un peu long »

« Ma robé préférée était celle avec les jouets. J’ai pensé à une chambre d’enfants, mais j’aime aussi les oiseaux, les papillons les fleurs. »

« La robe dorée avec les pointes me fait penser à un soleil d’argent »

« La robe bleue avec de la glace, l’antarctique, c’est tellement beau »

 

 

 

 

 

 

 

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