Couturier invité, Maxime Simoëns est une des jeunes pousses de la mode à suivre. Sa collection évoque l’ombre de Nosferatu qui plane et renvoie à Murnau mêlant une ténébreuse esthétique néo-gothique au sombre expressionnisme cher aux Allemands.
Les mots amplifient l’inspiration : « veste à découpes dents de vampire ». Le goût de la géométrie (une jolie constante) renvoie lui à l’art déco qui se manifeste aussi dans la collection avec notamment un motif inspiré de céramiques de Dunand. A partir de formes classiques et sobres s’ajoutent des broderies cloutées pour nouvelle garçonne en armure, des jetés de plumes, des formes de pantalons sarouels,…
Le rouge, dramatique, est ensuite mis, sur noir, majeur et sombre.
Douce épouvante.