-« Infidèles ». Vernissage chez Didier Ludot où l’antiquaire de mode confronte robes vintage et mobilier de Maryam Madhavi. La table « Deshabillez-moi » esquisse un pied de danse à lacets et susurre des mots doux à une géométrique robe en plaques rivetée de Paco Rabanne (1966). La console Chair de poule trouve son alter ego en « Nuit de Chine » de Jean Patou … Jusqu’au 3 avril.
Photo Didier Plowy/MCC
-Les vitrines du ministère de la culture rendent hommage à un couple mythique, les Noailles dont le bâtiment signé Mallet Stevens à Hyères sert de point de ralliement à un intéressant festival de mode. A Paris, leur ancien hôtel particulier sert d’écrin à Baccarat. Voir les images de leur vie avec leurs amis intellectuels de l’époque au travers de films, de documents, est un plaisir, en attendant l’installation définitive des documents à Hyères. Jusqu’au 11 mars.
-Undercover. Si le jeune et talentueux Jun Takahashi ne défile pas cette saison (mais présent en show-room), il lance deux parfums (Holygrapie et Holygrace) sous la houlette de Comme des garçons. Célébré chez L’éclaireur, l’événement est prétexte à customisation (très réussie) des flacons et à la création de poupées à partir d’ours en peluche.