
Le sériephile est ainsi fait : comme la plupart des êtres humains, l’été venu, il se laisse aller. Il rechigne à faire des efforts. Il préfère les longues siestes et les heures d’oisiveté au labeur et aux prises de tête. Les séries, par l’odeur de l’audimat attirées, se plient en général à ses envies. En juin et juillet fleurissent ainsi les “séries d’été”, programmes en général plus légers, plus purement divertissants, aux ambitions intellectuelles plus limitées, mais pas inintéressantes pour autant. Celles-ci étant souvent par la suite programmées en plein milieu de l’année par les chaînes françaises, il est bon d’avoir quelques outils pour les reconnaître. Lire la suite…
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