De temps en temps, il est bon de se souvenir que les séries sont un divertissement. Que si on peut en tirer mille sujets sociétaux, politiques ou philosophiques, elles sont aussi là pour nous faire passer un bon moment, pour nous détendre, pour nous amuser. Alors, de temps en temps, quand on se retrouve face à un acteur de série, on laisse de côté les questions sérieuses, et on se paye une petite tranche de rigolade. Les Américains se plient particulièrement volontiers à ce jeu-là sans souci. C’est ce que j’ai fait au début de l’été avec Tyler Hoechlin, alias Derek, loup-garou dans Teen Wolf, dont la saison 2 vient de commencer sur MTV chez nous. Hoechlin, de passage en région parisienne à l’occasion du Comic Con français, revient ici sur la coolitude des loups-garous, leur manie de vivre dans les bois ou encore leur pilosité ingérable… Pour rire, évidemment. Lire la suite…
lire le billetLa diffusion de la version US de Skins, sur MTV, a provoqué un des plus gros “scandales” sériels de ses dernières années, tout entier provoqué par le PTC (Parents Television Council), association conservatrice qui goûte peu les frasques des héros ados de la série. Alors que Skins US sera sur MTV, chez nous, le 22 mai prochain, Bunk s’est amusé à imaginer ce que serait la seconde saison de la série si le PTC l’emportait : Skins version Big Love, versant mormons traditionalistes…
lire le billetJack O’Connell, le Cook de la seconde génération de Skins, était de passage au début du mois du côté de Cannes, pour le MIPTV. J’ai pu m’entretenir avec lui de la saison 4 de Skins, pas encore diffusée sur Canal+, de la polémique autour du remake américain, de son expérience sur la série en général… et du film Skins, qui semble en mauvaise voie. Lire la suite…
lire le billetIl y a trois mois presque jour pour jour, j’écrivais un post intitulé « Je ne regarderai pas Skins US. » Aujourd’hui, je veux pousser un coup de gueule pour… défendre Skins US. Non pas que la version made in MTV de la superbe série ado britannique soit une réussite. Elle ne pouvait pas atteindre la qualité de son modèle. Elle devait passer inaperçue, on devait l’oublier vite fait, mal fait, comme tous ces remakes sans grande saveur qu’ont l’habitude de nous servir les Américains. Et puis le PTC est arrivé. Le PTC, pour Parents Television Council, une association conservatrice dont le petit jeu préféré consiste à tenter de flinguer les séries qui ne conviennent pas à son regard rétrograde et cul béni. Et Skins US est devenu un symbole de leur croisade passéiste… Lire la suite…
lire le billetCette mi-saison 2010-2011 pourrait bien marquer un changement majeur dans la relation passionnelle qu’entretient la télé américaine avec sa cousine britannique. Jusqu’ici, les remakes de succès britishs prenaient généralement la porte sans faire de bruit, annulés après une poignée d’épisodes. Récemment, Life on Mars ou Eleventh Hour avaient expérimenté le foireux système. Rares, très rares étaient les remakes comme The Office à avoir réussi leur coup. On n’attendait donc assez peu des trois remakes en dix jours — un record — proposés en ce début d’année. Pire, Shameless (Showtime), Skins (MTV) et Being Human (SyFy), toutes les trois très bien en version originale, devaient nous déplaire, et faire un bide. A défaut de nous combler, elles ont assurées, et ont battu des records d’audience. Lire la suite…
lire le billetOu alors, juste le premier épisode, pour faire mon boulot. Pourquoi ? Parce que j’ai, foncièrement, un problème avec les remakes, qui sont bien souvent ratés. Et parce que les remakes de séries britanniques sont encore plus souvent foireux (ne me parlez pas de The Office, c’est un vilain contre exemple, même si tous les fans de Ricky Gervais vous diront que la version britannique était meilleure). Surtout, je ne suivrai pas Skins version US parce qu’elle n’est qu’un vague copiée/collée de son modèle, avec une bonne partie du script, certains dialogues (adaptés au parler américain), certains plans (voyez dans le trailer ci-dessous la scène du réveil de Tony) et même certains des noms des personnages originaux. Un procédé marrant cinq minutes pour les amateurs d’exercices de style, mais complétement vain d’un point de vu artistique. Lire la suite…
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