Ça doit être un signe de la fameuse « crise » des séries dont on nous parle depuis cinq ans. Les chaînes cherchent des valeurs sûres, et se tournent vers des anciens de séries non seulement cultes, mais symboliques d’une immense réussite qualitative et quantitative (d’audience, j’entends). Cette saison 2010-2011 est ainsi littéralement squattée par les anciens des Soprano et de Friends. Deux chefs d’œuvres de l’histoire des séries, dans deux genres différents, et qui ont marqué durablement les esprits en terme de références. Lire la suite…
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