Alain Delon a sa vie derrière lui.
Il a atteint cet âge où il n’a plus rien à attendre de rien.
Et il le sait.
Tout comme il sait qu’il n’a plus rien à prouver.
Il a été le plus grand acteur français de sa génération, de toutes les générations peut-être, acteur magnifique, félin, sauvage, solitaire, énigmatique, illuminant de sa présence incandescente nombre de films devenus mythiques grâce à lui.
Surtout il a presque sauté sur Dien Bien Phu.
Ce qu’on n’oublie trop vite.
C’est dire s’il aime son pays.
Et ce pays qu’il a tant aimé, pour lequel il a risqué sa vie, qu’il incarne encore à l’étranger, de son exil helvète, il le voit sombrer peu à peu dans un état de déliquescence à laquelle, en tant que résistant de la première heure, il ne peut se résoudre.
C’est là le privilège des grands hommes.
De nous rappeler à l’ordre quand la patrie se retrouve en danger et vacille sur son socle.
De nous avertir quand nous empruntons des chemins de traverse qui mènent tout droit à la ruine et à la décadence morale.
Car comme il le dit si bien, avec un sens de la formule lapidaire propre aux esprits éclairés, capables d’un seul trait de plume de résumer la complexité de notre monde, de tracer en quelques mots l’état de décrépitude de notre pays “on ne peut pas être gaulliste dans un monde hollandiste.”
On ne saurait mieux dire.
Tout comme on ne pas être deloniste dans un monde debbouziste.
Antony Delon, illustre anonyme, acteur tâcheron et insignifiant, se trouve vraiment mal venu d’intenter un procès à son père et de remettre en cause la légitimité de ces dires.
Ce serait plutôt au Front National de se méfier de recevoir l’appui d’un personnage aussi douteux que Monsieur Delon.
Car enfin ne s’est-il pas compromis gravement en s’affichant auprès de cinéastes pédérastes comme Visconti qui, pas à une perversion près, fricotait de près, de très près même avec l’internationale communiste, collaborant ainsi à des œuvres d’obédience furieusement bolchevique (Rocco et ses Frères, Le Guépard) ?
Ne doit-il pas aussi ses plus beaux rôles (Le Samouraï, Le Cercle Rouge, Un flic) à l’israélite Jean-Pierre Grumbach qui dissimulait son infâme identité juive derrière le pseudonyme trompeur de Jean-Pierre Melville ?
Ne s’est-il pas illustré dans les longs métrages d’Achold Malakian (Le Clan des Siciliens, Mélodie en sous-sol) mieux connu sous le nom d’Henri Verneuil, né non seulement en Turquie mais se revendiquant de surcroît de putride ascendance arménienne ?
Et comble du comble, ne s’est-il pas abaissé à se salir sous la caméra pestilentielle de Monsieur Bernard Henry Levy, le chantre de la judaïsation des esprits, dans le funèbre Le Jour et la Nuit.
Autant de réalisateurs cosmopolites qui durant les années de gloire de Monsieur Delon, ont formé une sorte de cinquième colonne à l’œuvre dans le cinéma hexagonal, le gangrenant de l’intérieur et l’amenant au bord du gouffre.
Marine Le Pen serait bien inspirée de surveiller ses fréquentations.
Quant à Alain Delon, on ne saurait lui conseiller de revisionner la dernière scène de Monsieur Klein où il joue le rôle trouble d’un homme pris dans la spirale de l’occupation, emporté dans le vent de l’histoire.
On le voit errer aux abords du Vel d’Hiv parmi tout un troupeau de juifs égarés quand bien même s’est-il durant tout le film employé à nier son appartenance à ce peuple déicide et donc coupable.
La roue de l’Histoire tourne vite, Monsieur Delon.
Vos participations répétées à des films de cinéastes pervertis, juifs, arméniens, bolchéviques, invertis pourront bien vous valoir, quand la France se réveillera, de douloureux rappels à l’ordre.
Visconti, pd ? Naaaaaaannn, pas lui !
:’-(
il vire comme la bardot….
n’empêche que Mireille Darc, elle était trop mimi!
Delon est un résistant tendance exilé fiscal c’est ça ?
Après tout, on ne peut pas lui reprocher de dire des conneries. Il est vieux et gateux.
Mais pourquoi diable faut-il que les micros lui soient encore tendus ?
Donc il faudrait tollérer les propos imbéciles de notre plus grand acteur de tous les temps sous prétexte qu’il a tourné pour des metteurs en scène de nationalités toutes plus minoritaires et oprimées les unes que les autres ?
J’ai du mal à vous suivre.
sinon, faut t’il vraiment déposer un Recours auprès de la Fifa?
Mireille Darc je ne sais pas mais Romy doit se retourner dans sa tombe. Elle qui a détesté et souffert des préférences politiques de sa mère.
Parfois il faudrait mourir jeune, on oublierait qu’il a toujours été con et réac et on se souviendrait uniquement de son talent.
Vous avez quelque chose contre les minorités, achtungbaby ?
@ Vince : qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
Je n’ai rien contre les minorités a priori, mais il peut m’arriver, en fonction de leur motivation et/où de leurs critères d’appartenance, de considérer que c’est du flan qui n’a pas d’intérêt.
Donc rien contre, mais pas non plus béat sous prétexte qu’elles se revendiquent comme telles.
Pourquoi il faudrait bêler “c’est une minorité, respect” ??
Un oeuf rapporte à son producteur environ 5 centimes d’euros. Question : combien est-il vendu dans un supermarché ? Ca doit sûrement être les roms et les juifs qui empochent toute la différence (comme d’habitude).
Vous répondez quoi à ça achtungbaby, hein ?
@ Vince : je réponds que vous dites n’importe quoi.
Vous voulez me faire dire ce qui vous permet de sortir votre bonne (?) blague sur les oeufs, les juifs et les roms. En clair vous vous faites plaisir à bon compte.
Détendez-vous et expliquez moi comment vous en êtes arrivé là, parce que là vous êtes ridicule.
“hein” ?
Allez, on rigole !
@vince, il n’a pas encore l’habitude 😉
Titicaca me manque… ou totocaca, je sais plus…
totochichi non?
Oui voilà ! 🙂
elle en pense quoi ?
mais on s’en tape.
Mireille Darc :
nan mais QUEL CUL !
merci Vince grâce à vous je viens de comprendre son expression : “le FN, je le pousse”
c’est un blog d’anciens combatants ici ou quoi ?
Vous avez quelque chose contre ceux qui défendent la nation, Achtungbaby ?
Je me souviens : la Libye… les bombes qui pleuvent, les balles qui sifflent, la mort qui n’attend qu’un faux pas de ta part pour t’emmener avec elle… le désert à perte de vue avec ses dunes éternelles, balayées par un vent qui jamais ne s’arrête de souffler, indifférent à la folie des hommes… ton camarade d’infanterie qui s’en va au petit matin, fauché par un sniper…
Plus qu’un camarade, un ami.
@ Vince, les anciens combatants, c’est comme les minorités, il faut s’en servir à bon escient. Sinon ça tourne vite au gâtisme.