L’équipe de Plat du pied, soudée depuis ses plus tendres années
Sortez les cotillons, Plat du pied sécurité fête ses deux ans d’existence aujourd’hui. Avec le plaisir d’avoir retrouvé l’attelage Larqué-Roland qui a tant fait pour ne pas améliorer la beaufitude générale du grand public.
Depuis l’an dernier, nous nous sommes fait plein de nouveaux amis. On a raconté pas mal de conneries, mais on a aussi fait un peu de travail sérieux. En attendant une saison 3 pleine de promesses entre l’OM, le Paris qatari, les clasicos et l’Euro ukraino-polonais (à moins que ce ne soit l’inverse), nous vous proposons de vous esclaffer, de vous énerver ou de vous cultiver en (re)lisant nos chefs d’oeuvre des douze derniers mois.
lire le billetDeuxième volet de notre série sur les bâtisseurs des stades de l’Euro 2016, organisé par la France. Aujourd’hui, zoom sur les rénovations prévues, de la meilleure exploitation commerciale du Parc des Princes au couvrement du Vélodrome.
lire le billet
Vinci, Eiffage, ou Bouygues? Les trois géants du béton se régalent d’avance de l’organisation de l’Euro 2016 par la France. Une dizaine de stades seront rénovés ou sortiront carrément de terre. PDPS passe au crible ce jackpot. Première partie.
En 2016, la France accueillera l’Euro. Une bonne occasion de rénover (1) les plus grands stades du pays, en le faisant passer sur le compte de “l’intérêt général”. Ça devrait coûter au total 1,7 milliard d’euros. L’Etat donnera seulement 150 millions d’euros. Le reste est à la charge des collectivités locales, pour le plus grand bonheur des grandes boîtes de BTP (Bouygues, Vinci, Eiffage…), qui vont non seulement remplir leurs carnets de commandes pour les six ans à venir, mais aussi, dans la plupart des cas, gérer commercialement les enceintes pendant 30 ans. La clé de ce juteux business: le fameux “Partenariat public-privé” (PPP), qui assure au bâtisseur une redevance, ainsi que l’exploitation du site. Premier volet, les constructions.
lire le billet