La «Muraille de Chine», c’est comme la ligne Maginot, ça ne sert à rien

Il faut d’urgence trouver une autre expression que la «Muraille de Chine». Invoquée aujourd’hui par Eric Woerth pour affirmer une totale étanchéité entre ses activités ministérielles et les occupations professionnelles de son épouse, la «Muraille de Chine» revient à chaque fois qu’il est nécessaire de trouver une image forte. Dans la banque, la «Muraille de Chine» est censée séparer les activités de marchés de celles de conseils. Si Goldman Sachs se détournait des produits liés aux subprimes qu’il vendait par ailleurs à ses clients, c’est en raison de la «Muraille de Chine». Le problème, c’est que la «Muraille de Chine» n’existe pas.

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2 commentaires pour “La «Muraille de Chine», c’est comme la ligne Maginot, ça ne sert à rien”

  1. do u have a twitter

  2. Yes, I have one Twitter phdouroux

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