Pour survivre au procès de l’ancien trader Jérôme Kerviel, il faut d’abord passer l’épreuve du langage. «Turbo warrant», «call», «put», «barrière désactivante», «speal», «intraday», «extraday», «VAR»… bienvenue dans le monde abscons et barbare du jargon financier. Une fois cette torture endurée, l’affaire se résume au principe éternel de toute affaire pénale: parole contre parole. (Lire la suite sur Slate.fr)
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LES POINTS DE REPÈRES: L’affaire Kerviel en 5 histoires incroyables ; L’affaire Kerviel en 5 chiffres ; L’affaire Kerviel en 5 dates ; L’affaire Kerviel en 5 acteurs ; L’ordonnance de renvoi du juge Van Ruymbeke ; Les procès verbaux d’audition de Jérôme Kerviel à la brigade financière. Summary in english.