Les prix polars, c’est un peu comme les festivals consacrés au mauvais genre, il y en a beaucoup. Difficile de faire le tri, d’autant que, souvent, les uns sont liés aux autres et remis au cours de salons un peu partout en France. L’un des derniers en date, le prix Paris Noir par exemple, décerné à l’auteur Carlos Salem pour son excellent roman Nager sans se mouiller (Actes Sud), n’a pas connu l’écho qu’il méritait. Eclipsé sans doute par, le lendemain, la remise des Trophées 813, récompenses importantes décernées par les adhérents de la non moins incontournable association des amis de la littérature policière (Dominique Manotti et Craig Johnson ont été primés). Pour sortir du lot, il faut donc faire preuve d’originalité quand on souhaite lancer un prix noir. Lire la suite…
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