Polardeux et écrivains de France et de Navarre, réjouissez-vous. Après l’audience à la 17e chambre correctionnelle de Paris hier, il semblerait que vous pourrez continuer à écrire des polars. Retour sur une affaire rocambolesque dont le dénouement n’a pas encore eu lieu, mais qui commence à sentir bon pour la principale intéressée, l’auteure Lalie Walker. Lire la suite…
Non, vous n’avez pas mal lu, il n’y a pas de coquille, je parle bien d’Ellory, pas d’Ellroy. Outre l’anagrame de leurs noms, un autre point commun rapproche les deux presque homonymes : le talent. Si le grand James traîne sa carcasse et sa moustache dans les librairies du monde entier depuis plusieurs décennies déjà, Ellory, quant à lui, est un petit nouveau qui a déboulé en France en 2008 avec un premier texte remarqué, Seul le silence (vendu à plus de 40 000 exemplaires en grand format et à 200 000 en poche) par l’entremise d’une jeune maison d’édition, Sonatine, qui frappe toujours juste. Vendetta, son second roman, a reçu un accueil similaire et il est à parier que Les Anonymes, publié aujourd’hui, fera encore parler de lui. L’auteur a bien voulu m’accorder quelques minutes de son précieux temps lors de son passage à Paris. Rencontre.
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Quelques nouvelles du monde du polar avant un prochain post consacré à l’immense R.J. Ellory, dont le dernier roman, Les Anonymes, sera disponible dans deux jours. Direction donc la Grande-Bretagne, mais aussi Tahiti, Israël et le palais de justice de Paris pour ce petit tour du monde des affaires noires. Lire la suite…
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