H1N1 en overdose(s) vaccinale(s)

Gouverner, c’est prévoir. C’est aussi, parfois, parier. Face au risque pandémique associé au nouveau virus grippal H1N1pdm, le gouvernement français a, très tôt, choisi de faire un triple pari. Lire la suite…

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Google fever

«Googlesque»? Osons ce néologisme tant le nom du géant américain de l’Internet ne cesse, chaque jour, chaque minute, d’entrer un peu plus profond dans nos vies et nos consciences. Nous avions bien évidemment entendu parler, sans véritablement comprendre, de l’appétence des responsables de Google pour la grippe. Mais l’affaire nous semblait lointaine et brumeuse, hasardeuse et sans doute aux frontières du commercial.flugoogle
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A(H1N1): Haro sur les « experts» !

Le Pr Marc Gentilini accuse publiquement ceux qui ont conseillé le gouvernement dans la lutte contre la pandémie

A quand l’orage ?  Nous sommes bientôt à la mi-octobre 2009 et force est bien de constater que la vague pandémique annoncée n’a toujours pas véritablement touché l’Hexagone comme viennent de le confirmer les experts de  l’Institut de veille sanitaire (InVS).  Selon les médecins du réseau Sentinelles de l’Inserm, on estime à 217 pour 100000 habitants,  le nombre des consultations pour grippe  dans la semaine du 28 septembre au 4 octobre. L’excès hebdomadaire des consultations pour grippe est estimé à 126 000. C’est dire que l’on est certes toujours au-dessus du seuil épidémique (102 cas pour 100 000) mais très loin d’une situation pandémique.

grippe

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N’est-il pas un peu tôt pour nous demander de manger notre chapeau?

Il est toujours un peu inquiétant de jeter sur les ondes, l’anathème sur une catégorie de la population. Aujourd’hui ce sont les experts épidémiologistes. Deviendront-ils les boucs émissaires de cette pandémie? Marc Gentilini les qualifie «d’épidémiologistes en chambre », nos gouvernants seraient-ils  sous l’influence d’épidémiologistes déconnectés des réalités de terrain ? La controverse est saine. La science elle-même n’est faite que de controverses. Mais elle  gagne généralement à s’organiser sur les arguments que les uns et les autres développent, plutôt que sur le discrédit global d’une catégorie de porteurs de ces arguments parce qu’ils seraient épidémiologistes aujourd’hui, ou surtout parce qu’ils défendraient des thèses qui déplaisent. Lire la suite…

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