C’est promis, on ne rira plus du «made in China». Mercredi, plusieurs témoignages (ici et là) nous apprennent qu’au Chili et aux Etats-Unis, des utilisateurs se sont vus refuser l’accès à Facebook, Twitter ou Youtube… par la censure chinoise. Présenté comme tel, on pourrait croire que l’espace de quelques heures, la «grande muraille» de l’internet est devenue poreuse, dans le mauvais sens. C’est aussi la preuve que les filtres sont au mieux inopérants, au pire dangereux. Lire la suite…