Faut-il fesser Struwwelpeter ou l’éducation terroriste ?

La fessée, le coup pied au cul, la bonne vieille gifle… Comme tout le monde, j’y ai goûté quelques rares fois. Le châtiment de mon postérieur n’a pas renforcé de manière significative mon sens des bonnes valeurs, ni marqué quelque interdit que ce soit dans ma conscience. Ce sont des claques plus psychologiques qui, de rejets en adhésions, m’ont permis de me construire.

 

Lire la suite…

lire le billet