Vous êtes foutus. Vous n’avez pas le choix. Dans les deux semaines qui viennent (peut-être bien trois ou quatre semaines), vous allez devoir finir toutes vos conversations par « bonne année » ou, pire, « bonne année, et surtout… la santé hein ! » Puisque c’est mon job, je tenais à vous envoyer quelques vœux […]
lire le billet sur Têtes de séries