Il était l’ennemi public numéro 1. Un homme dangereux, armé, à la réputation brutale et sanguinaire. Jacques Mesrine était aussi un coeur d’artichaut semble-t-il, une sorte de bisounours, d’adolescent immature. C’est du moins ce qui ressort de la lecture des lettres qu’il écrivait à son “amoureuse”, la canadienne Jocelyne Deraiche. Malade, elle a mis en […]
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