Sens dessus dessous, les nuisettes se superposent, mais à la Yohji Yamamoto, un poil déstructurées. Le corps apparaît dans un esprit de négligé, déshabillé pour un nouveau boudoir.
Après une série de combinaisons entre blanc et noir, les motifs s’invitent et font tapisserie.
Asymétrie, déstructure étaient au rendez-vous, mais avec une féminité revendiquée allant parfois dans le stylisme jusqu’à imaginer une image surgie de Portier de nuit.
Des dentelles transparentes, une touche d’or scintillant, un noir majeur…
Un final femme fleurs sur jupon blanc de mariée, à effeuiller ?
Un érotisme sous-jacent, nouveau chant de l’oreiller pour Yohji Yamamoto ?
Photos Monica Feudi