PDPS a un an, et un best of pour fêter ça

3182181634_f80cc79e81_zGazzaAvatarPippoAvatar copyLucarelliAvatarSteveSavidanAvatar1TeddyBertinAvatarGravesenAvatarUn petit évènement est passé inaperçu au milieu du tourbillon médiatique du mois de septembre: Plat du pied sécurité a fêté sa première année d’exercice. Chers lecteurs, retour sur des prophéties qui ne se réalisent pas, des dérapages maîtrisés et, parfois, de bons articles de fond.

Les grands débats

On ne va pas vous les briser avec le “devoir d’exemplarité des sportifs” qui fait couler le Rimmel de Roselyne Bachelot. La France est allée se ridiculiser à la coupe du Monde grâce à une main de Thierry Henry. Emoi de la bien-pensance politico-médiatique. Mais devinez quoi, si c’était à refaire, on voudrait que Titi le refasse, parce que “nous sommes tous des Thierry Henry”.

Messi vs Ronaldo. La polémique va encore tenir en haleine les fans de foot pendant au moins cinq ans. Mais bordel, c’est qui le meilleur? Personne n’est d’accord, et c’est ça qui est bon. Seul contre tous, l’un des rédacteurs de Plat du pied a pris position.

Lire la suite…

lire le billet

L’entraîneur est un beauf comme un autre

GravesenAvatarTeddyBertinAvatarC’est bien connu, le football est le sport le plus universel qui soit. Et le plus beau vecteur patriotique jamais inventé. Rançon de l’universalité, la surmédiatisation, qui ne plaît aux footeux, comme aux politiques et aux artistes, que lorsqu’elle leur est profitable. C’est à dire bankable.

Il y a peu de pays où le foot et la sélection ont autant d’importance qu’en Argentine. D’où l’inexorable besoin de se lâcher de Diego Maradona, au bord du précipice et remis en cause dans sa stature de demi-dieu par une presse indignée par les performances des joueurs.

Lire la suite…

lire le billet

L’Argentine qualifiée, Maradona régale dans l’après-match

TeddyBertinAvatarL’Albiceleste s’est qualifiée directement pour le prochain Mondial en Afrique du Sud en allant gagner en Uruguay (1-0). Plus que le match – à oublier – on retiendra la performance de Maradona en conférence de presse.

On aurait pu en rester au traditionnel entretien d’après match: langue de bois acceptée, voire encouragée. “L’important ce soir, c’était de prendre les trois points. On était bien en place, j’avais dit aux joueurs de ne pas trop se découvrir.” Mais non. Maradona reste Maradona, et il a fait le show. Sa cible, la presse et tous “ceux qui n’ont pas cru” en la sélection.

L’AFP évoque pudiquement des “termes particulièrement grossiers” et traduit une partie des propos du sélectionneur: “J’ai de la mémoire. Je vais me souvenir de ceux qui n’ont pas cru en la sélection et m’ont traité comme un moins que rien. Aujourd’hui nous sommes au Mondial, sans l’aide de personne (…). Vous avez inventé que j’avais des problèmes avec Bilardo”.

Lire la suite…

lire le billet