Ce qu’on veut voir dimanche soir au Vélodrome


Des bastons, de l’intox, de la traîtrise, des buts de fou… Tous les ingrédients pour qu’OM-PSG soit (enfin) un grand match.

Cela fait déjà trois semaines qu’on vous bassine avec ça : OM-PSG est arrivé. L’affiche fut souvent d’un intérêt sportif limité ces dernières années, malgré la mayonnaise montée plus ou moins laborieusement par Canal, vendeur de soupe Ligue 1 en chef. La preuve avec l’utilisation abusive et répétée du terme “clasico”. Mais cette année, c’est dit, ce premier affrontement entre Marseille et Paris sera la mère de toutes les batailles. Au moins jusqu’au match retour. Pensez donc : l’OM a réussi un début de saison au-delà de toute espérance, et pointe en tête du championnat, avec tout juste trois points d’avance sur le PSG des galactiques version Ligue 1. De quoi se pourlécher les babines. Mais qu’attend-on au juste de ce match ? Voici les ingrédients nécessaires pour qu’enfin, cette affiche soit vraiment digne du terme “clasico”.

Lire la suite…

lire le billet

Dans notre boule de cristal, la Ligue des champions 2012-2013

Qui sera à Wembley, le 25 mai 2013, pour assister à la finale de la Ligue des champions ? Pas grand monde, puisque le compte à rebours pour la fin du monde est enclenché. Et si d’aventure les Mayas s’étaient plantés, n’oublions pas que la zone euro n’est qu’en sursis. Et que les Brits pourraient tout à fait refuser l’afflux sur leur sol de supporters venant d’une nation aussi deshéritée que l’Espagne. Pour toutes ces bonnes raisons, voici le récit anticipé de la Champion’s League 2012-2013.

Septembre

Au diable les Chelsea-Juventus ou Real Madrid-Manchester City qui doivent ambiancer la première journée des phases de poules. Ce mercredi 19 septembre, tous les regards sont braqués sur la Donbass Arena, qui accueille le choc entre le Chakhtar Donetsk et le FC Nordsjaelland, les derniers champions d’Ukraine et du Danemark. L’occasion de voir en action la légion de milieux et attaquants brésiliens du Chakhtar et un dénommé Andreas Laudrup. Le fiston de Michael n’affiche malheureusement pas les mêmes statistiques que daddy, avec 8 buts en 72 matchs. Score final : 3-0.

Lire la suite…

lire le billet

La Ligue 1 est-elle une sitcom ?

"C'est bon les gars, on est prêt à faire une heure sur du vent!"

Les analyses autour du championnat de France sont affligeantes. Pour préserver un suspens factice, journalistes et consultants font monter la sauce de manière artificielle et un tantinet pénible. L’arrivée du Qatar au PSG n’arrange rien.

Comment bien commenter le sport ? Je ne parle pas ici des commentaires pendant les matchs mais des émissions et des articles avant et après match. La Ligue 1 est à peine à sa 4ème journée sur 38 que Montpellier vient déjà de négocier son premier virage, qu’André-Pierre Gignac est un grand attaquant, que le PSG sort d’une mini-crise et qu’il est victime d’une Ibra-dépendance.

A croire qu’il n’est jamais arrivé à aucun club d’être champion malgré 3 matchs nuls consécutifs à un moment ou un autre dans la saison. Les journalistes sportifs se retrouvent trop souvent à analyser au jour-le-jour des performances de clubs et d’équipes qu’ils suivent depuis des dizaines d’années. L’Equipe a touché le fond du ridicule en titrant après deux matchs “Le bel été de Gourcuff” le jour même où celui-ci se blessait.

Lire la suite…

lire le billet

Mercato: la saison des melons

Et Veratti tenta de faire du Pirlo

Le mercato est fini, vive le mercato. Après plusieurs mois de rumeurs, en général pas très folles, les clubs français ont joué au délestage plus qu’au renforcement. Sauf pour prendre du teigneux, de l’égocentrique. Maintenant que le marché est clos, voyons donc quels joueurs la Ligue 1 va (re)découvrir. Un onze pas si moche.

Lire la suite…

lire le billet

Ce qu’il faut savoir sur la nouvelle saison de Ligue 1 (2/2)

Cette année, un big mac par but !”

La Ligue 1 a repris hier soir sur un Montpellier-Toulouse. Voici, équipe par équipe, ce que vous devez garder en tête tout au long d’une saison au scenario claire, puisque 19 équipes vont tout faire pour que la 20e se plante. Deuxième partie, de Nancy à Valenciennes. (Lire la première partie, d’Ajaccio, à Montpellier)

Lire la suite…

lire le billet

Zlatan, pire que Nasri?

Zlatan en France, ce sont tous les défauts de M’Vila, Nasri, Ménez et Ben Arfa réunis en un seul homme. Avec toutefois une qualité en plus. Être un gagneur.

Sonnez cors et trompettes, Zlatan Ibrahimovic arrive ! Chantons ses louanges et bénissons l’argent qatari ! L’arrivée du géant suédois est, en effet, une très bonne nouvelle. Voilà un joueur qui va nous régaler sur le terrain, en conf’ de presse et en dehors du terrain de moments d’anthologie. Pas sûr pour autant qu’il réconcilie la France avec l’image du foot. Zlatan possède tous les défauts reprochés à certains joueurs de l’équipe de France.

1- Zlatan est un mercenaire. La carrière d’Ibrahimovic est un mouvement perpétuel. L’attaquant n’a jamais passé plus de 3 ans dans un club… Ses transferts défraient souvent la chronique. Il a été échangé par l’Inter au Barça contre Eto’o + 45 millions d’euros. Son arrivée au PSG marque certainement l’apogée de sa carrière en termes de salaire – 14 millions à l’année. Seule une personne fait mieux dans le monde… Eto’o !

2- Zlatan est nonchalant. Oui, Ibra a mis un magnifique but contre la France lors du dernier Euro. Mais on oublie qu’il a passé les deux autres matchs à marcher. C’est comme cela. Zlatan est doué. Zlatan choisit ses matchs. Zlatan n’a parfois pas envie de défendre. Zlatan préfère frapper fort de loin que faire une passe. Un mec qui peut faire gagner son équipe sans avoir fait une bonne passe. Horrible. Zebina, son ancien coéquipier à la Juve craint même que Zlatan «s’ennuie» en Ligue 1.

3- Zlatan a le melon. «J’aime humilier mon adversaire, ça fait parti de ma conception du jeu.» L’ancien joueur de Milan, de l’Inter, de la Juve et du Barça ne conçoit pas vraiment le foot comme un sport collectif. Il gagne les matchs et son équipe les perd. Néné, Pastore et Ménez vont devoir se mettre au service du géant au catogan sous peine de subir le même interrogatoire que ses anciens coéquipiers de l’Ajax: «Moi je suis Zlatan, mais vous vous êtes qui, putain?» Une attitude qui lui joue peut-être des tours. L’Inter et le Barça ont attendu son départ pour gagner la Ligue des champions.

4- Zlatan est violent. Dans un monde d’égo comme celui des footeux, il y a forcément des frictions. Dans ces cas-là, Ibra ne se défile pas. Il fait face et file des coups de pied, en bon amateur de taekwondo. Il va peut-être faire un concours d’expulsion avec Sissoko et Motta ? Ah oui, les parents de Zlatan viennent des Balkans. Juste pour info.

Mais, car il y a un mais.

5- Zlatan gagne. Finalement, les écarts de conduit, voire la terreur qu’il peut inspirer chez ses coéquipiers, restent, chez Ibra, de gentilles anecdotes. Elles ne prennent pas l’ampleur des petites polémiques qui touchent nos footeux sous la tunique nationale. Pourquoi? Parce que Zlatan gagne. Le mec a été champion avec tous ses clubs depuis 10 ans. Excusez du peu. On le sait, on pardonne tout aux gagnants, regardez les réactions suite au coup de boule de Zidane. Finalement, voilà peut être le message que Z fera passer à Ménez. «Si tu veux pas qu’on te fasse chier, gagne. Personne n’emmerde les vainqueurs.»

Olivier Monod

Suivez-nous aussi sur Facebook et sur Twitter
C Photo REUTERS/Alessandro Garofalo

lire le billet

Le PSG va-t-il tuer la Ligue 1 ?

C’est entendu: les arrivées de Thiago Silva et de Zlatan Ibrahimovic au Paris Saint-Germain font passer le club de la capitale dans la cour des grands. Mieux, ce double transfert chiffré à quasiment 70 millions d’euros va tirer toute la Ligue 1 vers l’excellence. Voilà la petite musique que souhaitent nous faire entendre les dirigeants parisiens et la plupart des observateurs du foot français. En réalité, la potion qatarie semble bien trop forte pour notre Ligue 1. Au point de la tuer ?

30+11+42+20 = 103. En millions d’euros, c’est le montant total des transferts réalisés jusqu’à présent par le PSG (hors bonus). Soit la somme que le président du PSG, Nasser el-Khelaifi, s’est dit prêt à dépenser chaque été pendant cinq ans pour construire une équipe compétitive afin d’ambiancer la Ligue 1. Et encore, à en croire les gazettes, l’addition pourrait encore grimper puisque le bigot Kaka pourrait débarquer dans les prochains jours. Face à cette somme déraisonnable, un autre chiffre, qui fait peine à voir: 25. Soit, en millions d’euros, l’ensemble des emplettes réalisées par les 19 autres clubs de l’élite. Quand on sait que Lille compte pour près de la moitié de ce total avec les achats de Marvin Martin et Salomon Kalou, il y a de quoi se poser des questions sur le supposé rôle de “locomotive” joué par le PSG.

D’autant que le club managé par Leonardo a la fâcheuse tendance à recruter ses ouailles en Italie. Sur les quelque 200 millions d’euros lâchés depuis un an, 175 sont partis dans la Botte. Silvio est content, les agents aussi, mais les présidents de Ligue 1, eux, tirent la gueule. Seul Loïc Féry, le Lorientais, Seuls les présidents de Lorient, Saint-Etienne et Valenciennes ont eu la chance de voir le gros chéquier du PSG, en refourguant respectivement Gameiro, Matuidi et Bisevac. N’allez pas croire qu’on n’aime pas le foot italien, mais le manque d’imagination de Leonardo commence à devenir douteux. Surtout, on peut faire une observation : le PSG ne compte pas reproduire le schéma de Lyon dans les années 2000, qui se renouvelait tous les ans en achetant les meilleurs joueurs de ses adversaires, parfois à prix d’or. Non, le club parisien vise du très haut de gamme. Pire, il semble assez décidé à ne pas renforcer le reste de la Ligue 1 en lui cédant ses joueurs peu utilisés. Chantôme comme Sakho pourraient ainsi squatter le banc du Parc des Princes l’an prochain, au lieu de s’ébrouer dans le Rhône. Une perte de talents assez malvenue pour notre championnat, et qui risque de dégoûter la concurrence.

Soyons clairs: actuellement, le PSG joue 10 catégories au-dessus des autres. Vous me direz que cela n’est pas gage de triomphe sportif à la fin de la saison. Pourquoi pas. Mais Zlatan et Thiago Silva réunis, c’est un niveau qui commence à sembler inaccessible. Prenons l’autre curiosité du mercato parisien, le jeune Italien Marco Verratti. Un gamin de 19 ans, qui n’a pas joué un seul match en élite italienne. Le PSG va pourtant craquer 11 millions d’euros (plus 4 millions de bonus) pour celui qu’on présente comme le nouveau Pirlo. Pendant ce temps-là, Lille et Lyon s’écharpent pour attirer dans leur effectif le Troyen Djibril Sidibé, pinaillant sur l’indemnité demandée par le club aubois, 2 millions d’euros. Les Gones, encore eux, galèrent pour recruter le Dijonnais Benjamin Corgnet, dont le club vient d’être relégué en Ligue 2. Ne parlons pas de l’OM, qui, plombé par sa masse salariale, n’a pour l’instant réussi à faire venir que Florian Raspentino, dont le CV de footballeur pro se résume à une saison en deuxième division avec Nantes. Quant au Losc, qu’on présente comme l’outsider le plus sérieux pour la saison prochaine, il a dû prendre la moitié de l’indemnité de transfert d’Eden Hazard (40 millions d’euros) pour équilibrer ses comptes 2011-2012.

L’arrivée du Z arrive quelques années trop tôt

Il ne s’agit pas jeter la pierre aux concurrents du PSG , en les qualifiant de pisse-froids ou de radins. Eux vivent dans l’économie réelle. Après des années de gestion dispendieuse, où l’on était capable de verser 18 millions d’euros pour recruter André-Pierre Gignac et de lui octroyer un salaire de 320 000 euros par mois, on semble revenu à un poil plus de raison. L’Europe est en crise, et le foot aussi. Avant d’arriver à la situation de nombreux clubs espagnols, incapables de payer leurs salaires et forcés de vivre à crédit (avant de mourir ?), le foot français peut réagir. C’est le sens des cures d’austérité impulsées dans de nombreux clubs, qui ont aussi dû se rendre compte que payer des joueurs très moyens au-delà du million annuel, ça méritait bien une taxation à 75%.

Le PSG, lui, vit bien loin de ces contingences très matérielles. Tout à sa diplomatie du ballon rond, le Qatar lâche son pognon sans compter. Car au-delà des indemnités de transfert, le PSG arrose allègrement ses employés. Trois ans de contrat pour Zlatan, à hauteur de 14 millions annuels nets d’impôts pour le joueur, c’est une somme bien plus importante à verser pour le club (89 millions d’euros selon l’excellent Jérôme Lefilliâtre, ancien de ce blog). Au total, résume lemonde.fr, la masse salariale brute du PSG pour la saison 2012-1013 équivaudrait aux budgets des clubs de Nancy et Dijon l’an passé.

A dire vrai, l’arrivée du Z tombe quelques années trop tôt. La Ligue 1 n’est pas structurée pour porter un club à la fois de très haut niveau et sain économiquement. L’incapacité de Lyon à passer le cap de l’excellence européenne l’a cruellement démontré. La France n’est pas un pays de foot. La plupart des stades font encore 20 000 places, la vente de produits dérivés n’est pas folle. Certes, on essaye de rattraper le coup en prévision de l’Euro 2016, en construisant de nouvelles enceintes et en relançant l’équipe nationale. Mais pour le moment, le chantier bat de l’aile. Les stades peinent à sortir de terre, la sélection a réussi à creuser encore un peu le fossé qui l’écarte du public.

En Angleterre, Manchester City a trouvé du répondant quand il a commencé à investir massivement : Manchester United et Arsenal, notamment, sont structurés économiquement pour faire face. Les adversaires “naturels” du PSG, l’OL et l’OM, sont au fond d’un gouffre économique, Montpellier joue avec une équipe d’enfants, et Lille fait du sous Lyon du début des années 2000. En achetant Ibrahimovic et Thiago Silva, le PSG investit indépendemment de son environnement immédiat. Les dirigeants parisiens répondront que les stars attireront un nouveau public et provoqueront l’enthousiasme des foules. Pour nous, c’est surtout la crainte de “tuer” tout l’intérêt sportif du championnat dans les cinq prochaines années, de dégoûter la concurrence, et d’assurer un lot quotidien de polémiques sur le mode “David contre Goliath”. En gros, Zlatan et Thiago Silva jouant à Marcel Picot devant des habitués d’un Nancy-Valenciennes, c’est faire jouer les Whites Stripes en première partie de Justin Bieber dans la salle polyvalente d’Angers.

Olivier Monod et Sidney Maréval

Suivez-nous aussi sur Facebook et sur Twitter

Photo Reuters / Alessandro Garofalo

lire le billet

Hollande, le sportif total ?

André-Pierre, je suis ton père

Quand Nicolas Sarkozy aimait davantage les champions que leurs disciplines, le PSG que le foot, François Hollande affirme depuis longtemps son goût pour la chose sportive et le ballon rond.

Lassée d’un Nicolas Sarkozy dont le geste technique favori, la transversale vers la droite, était devenu trop prévisible, l’équipe de France a décidé de se doter d’un nouveau patron pour réorienter son plan de jeu et se donner plus de variété dans l’alternance et les combinaisons. François Hollande s’est révélé coriace dans les un contre un. Reste à savoir comment il va assumer son leadership technique. Les attentes sont fortes, bien qu’en l’occurrence, il remplace plus un Reynald Pedros qu’un Michel Platini, une personnalité qu’Hollande, vrai fan de foot et de sport en général, cite volontiers. Mais au fait, ça va ressembler à quoi la présidence sportive de François Hollande ?

Lire la suite…

lire le billet

Les donneurs de leçon du foot français

Au fond, elle n’est pas si mal, notre bonne vieille Ligue 1. Il y a du suspense, en haut et en bas, tous les ans. Elle laisse leur place à des talents différents (Hazard, Civelli, Ochoa). Non, ce qui est de plus en plus insupportable, en fait, ce sont les têtes pensantes du foot français. Des donneurs de leçons qu’on voit semaine après semaine sur les écrans télé, et qui commencent à nous saouler.

Tout est parti d’une scène d’environ une minute lors du “debrief” du Canal Football Club, juste après le match nul (1-1) entre Rennes et Lyon. Une prise de bec entre deux des plus belles têtes à claque du foot français, Jean-Michel Aulas, président de l’OL, et Pierre Menès, éditorialiste de la chaîne cryptée.

Que retenir de l’épisode ? Que Pierre Menès “gêne tout le football français” avec ses remarques, comme le dit JMA ? Hum hum. Finalement, c’est peut-être le rappel “perfide-mais-qui-fait-toujours-plaisir” du médiocre parcours de Menès comme dirigeant au Stade de Reims qui restera. Pas génial, pour deux gars qui nous sont présentés comme faisant autorité dans leur domaine. En fait, c’est bien là le problème du foot français. L’espace semble pollué par une ribambelle de clowns tristes donneurs de leçons. Des types qui, de temps en temps, nous arrachent un sourire avec une punchline qui claque, mais dont la plupart des saillies nous procure autant d’excitation que la campagne présidentielle. Voici notre Top 5.

Lire la suite…

lire le billet

Le PSG, ce patron voyou


Kombouaré enfin  viré, Luyindula toujours exclu, le PSG version qatarie prolonge la longue tradition parisienne de pratiques patronales douteuses. De Dhorasoo à Rothen en passant par Peguy et Antoine, retour sur les conflits sociaux du club.

Le divorce entre Antoine Kombouaré et le PSG est officiellement signé. Et on devrait connaître dans les prochaines heures son successeur, Carlo Ancelotti. La suite logique d’une première moitié de saison marquée par une remise en doute systématique des capacités du Kanak à cornaquer une grande équipe. Son éviction était prévisible. La direction s’était fendue d’un communiqué lapidaire et énigmatique il y a une semaine:

“Le PSG et son entraîneur Antoine Kombouaré tiennent à préciser qu’ils ont engagé des discussions sereines qui devraient aboutir prochainement et qui permettront à chacun de préserver ses intérêts.”

Traduction: “On va virer Kombouaré, mais avant on va se mettre d’accord sur ses indemnités de départ.”

Lire la suite…

lire le billet