Morel plus cher que Robben, on parle du maillot, hein…
Le marché du merchandising sportif se porte toujours bien. Clubs et équipementiers ont même le bon goût d’augmenter le prix des maillots du top 5 européen de près de 5 % depuis la saison 2009/2010.
L’argent dans le foot n’a pas fini de faire jaser. Le prix des maillots de foot a augmenté de 7,7% en France entre les saisons 2009/2010 et 2011/2012. Selon une étude de Sport+Markt, les tuniques sont plus chères dans l’hexagone que dans le reste de l’Europe (Italie exceptée).
lire le billetL’OL veut faire comme les grands, mais n’en a pas les moyens. Alors le club est obligé de ruser. Dernière initiative en date, miser sur la formation. Une politique qui va bien au delà des titularisations de Umtiti et Lacazette.
Tout commence par des mystérieuses recrues lyonnaises. Ces derniers mois, l’OL a embauché une obscure attaquante japonaise, un défenseur émirati inconnu et deux moins de 16 ans chinois. Clairement, la valeur sportive de ces individus n’est pas le moteur premier de ces recrues. La vérité est ailleurs.
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Alors, elle arrive, ma Ligue des Champions ?
La Champion’s league est de retour pour les quarts de finale cette semaine. La compétition la plus médiatique du foot offre une nouvelle fois des affiches entre les mêmes clubs du gotha européen. Conséquence d’un déséquilibre structurel du football moderne selon Bastien Drut, auteur de “Economie du football professionnel” chez La Découverte.
Un air de déjà-vu. Ces dernières années, le football ressemble à une série américaine. Toujours les mêmes acteurs, le même scénario et les mêmes dialogues. “L’important, c’est les 3 points”. La Ligue des Champions (LdC), dont les quarts de finale retour ont lieu cette semaine en est l’incarnation la plus parfaite. Si un ou deux clubs “surprises” arrivent souvent à se hisser à ce niveau de la compétition – Schalke et Tottenham cette année, Bordeaux et le CSK l’an dernier – le gros des troupes est toujours le même. On se dirige d’ailleurs tout droit vers une finale Barcelone-Manchester United, tous deux triple-vainqueurs de la compétition.
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Imaginez une boîte qui s’occupe de votre vie privée mieux que vous ne le feriez vous-même. Qui vous réserve vos luxueuses vacances et vous dégote un accès VIP pour un concert complet depuis des mois. Un rêve fou? Pour vous et moi, oui. Pour les footballeurs les plus cotés, non. La société Ultimate Player, lancée par Ludovic Giuly en janvier, offre aux sportifs de haut niveau ce service dit “conciergerie de luxe”. L’attaquant du PSG explique à PDPS son fonctionnement.
“Surtout avec ce qui se passe en ce moment”. La phrase revient plusieurs fois dans la bouche de Ludovic Giuly. L’ombre de Zahia plane sur le déjeuner, qui se tient dans un resto people du 16e arrondissement de Paris, fréquenté ce midi-là par Franck Dubosc et Alain Cayzac. Epaulé par Benjamin Guiborel, son associé, le numéro 7 du PSG veut dissiper tout malentendu. Ultimate Player n’a rien à voir avec le foot-bling-bling qu’on fait mine de découvrir ces dernières semaines. Non, sa société a pour but d’assurer “la tranquillité dans le corps et la tête” des joueurs qui profitent de ses services.
Lancée au début de l’année, Ultimate Player (UP) est une conciergerie de luxe, détenue à 50/50 par le lutin parisien et le groupe international UUU, une des grosses boîtes du marché. UP ne s’adresse qu’à des sportifs de haut niveau, à la différence de UUU, qui cible plutôt des hommes d’affaires, diplomates, traders, oligarques et autres émirs. Elle propose aux footballeurs des services privés à la carte, qui vont de la réservation d’un hôtel pour le week-end à la privatisation d’une île pour les vacances, de l’engagement d’une baby-sitter pour la soirée à la réservation d’une table dans un restaurant huppé, etc.
lire le billetDepuis l’introduction du club lyonnais en bourse, la finance française rencontre le monde du football. Dernière session en date jeudi midi avec la présentation des résultats semestriels d’OL Group. Bilan? Une annonce, une confirmation et un florilège aulassien.
lire le billetRibéry ira-t-il au Real? Govou restera-t-il à Lyon? On l’ignore, mais en cette période de mercato, essayons de mieux comprendre le rôle des agents grâce aux éclairages de Jean-François Brocard, doctorant au centre de droit et d’économie du sport (CDES) et seul économiste européen à réaliser une thèse sur le sujet. Lire la suite…
lire le billetLa France finira troisième de son groupe. C’est l’économie qui le dit. Déjà sportivement nous ne sommes pas sûrs de nous qualifier, mais économiquement nous n’avons tout simplement aucune chance. Le site portugais Futebolfinance.com a publié le salaire des sélectionneurs des 32 équipes qualifiées pour la Coupe du monde, et le classement n’est pas flatteur pour la France… Dix-huitième avec 560.000€ par an, Raymond est loin derrière ses homologues sudaf’ et mexicain qui touchent eux 1,2 millions d’euros. Mais devant l’Uruguayen Oscar Tabarez, 30e avec 205.000 euros.
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