Au théâtre ce soir…

Le polar est partout on vous dit, partout, même là où on ne l’attend pas forcément. En librairies, au cinéma, à la télé et maintenant c’est le théâtre qui s’y colle. Deux pièces sont à l’affiche ces jours-ci : Série B, titre noir et provisoire et Pluie d’enfer. Une création française pour la première, une adaptation américaine pour la seconde. Allons donc voir de plus près ces scènes de crimes inédites. Lire la suite…

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Les revues s’habillent en noir

Mauvais Genre le retour ! Après de nombreuses semaines à l’ombre, votre blog reprend du service. Les aléas de ce métier ont fait qu’il m’était devenu difficile de poster par ici comme je vous l’avais expliqué dans un précédent post. Mais me voici de nouveau parmi vous, prêt à remonter au braquage… Pour se remettre en route, un petit tour du côté des publications spécialisées et dédiées au polar s’impose. Lire la suite…

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Papier noir pour toile blanche

Les prix polars, c’est un peu comme les festivals consacrés au mauvais genre, il y en a beaucoup. Difficile de faire le tri, d’autant que, souvent, les uns sont liés aux autres et remis au cours de salons un peu partout en France. L’un des derniers en date, le prix Paris Noir par exemple, décerné à l’auteur Carlos Salem pour son excellent roman Nager sans se mouiller (Actes Sud), n’a pas connu l’écho qu’il méritait. Eclipsé sans doute par, le lendemain, la remise des Trophées 813, récompenses importantes décernées par les adhérents de la non moins incontournable association des amis de la littérature policière (Dominique Manotti et Craig Johnson ont été primés). Pour sortir du lot, il faut donc faire preuve d’originalité quand on souhaite lancer un prix noir. Lire la suite…

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Un alibi pour 2011…

La fin d’année approche et les posts sur ce blog se font rares. Je plaide coupable. Je n’ai pas d’excuse, mais un véritable alibi. Je vous le livre ici, à vous de juger. Et promis, messieurs les jurés, je reprends un rythme plus soutenu de posts dès le mois de janvier. Lire la suite…

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Vis ma vie de narco

Osito

Une grande partie de la cocaïne importée en Europe entre 1999 et 2003, c’est lui. Osito, l’Ourson en espagnol, aujourd’hui retiré des affaires, raconte le quotidien d’un narcotrafiquant dans un livre choc*. Rencontre avec un homme pas ordinaire. Lire la suite…

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Demandez le programme (noir)

Deux nouvelles qui intéresseront sans doute les amateurs de noir. Les organisateurs de Quais du polar, à Lyon, la plus importante manifestation dédiée au mauvais genre de l’Hexagone (32 000 visiteurs en 2010), viennent d’annoncer les dates de la prochaine édition. A vos agendas donc et rendez-vous au Palais du Commerce de Lyon du 25 au 27 mars 2011 avec le Mexique comme invité d’honneur. Au programme, rencontres, dédicaces, tables rondes, avec les plus importants auteurs du moment. Sont déjà confirmés RJ Ellory, David Peace ou John Harvey. Encore une belle brochette de polardeux en perspective.

Plus proches de nous, les 13 et 14 novembre prochains, se tiendra le premier festival Paris Noir. C’est à la Maison des Métallos que ça se passe, avec de nombreux écrivains français, des tables rondes originales et la Grèce comme invitée. L’occasion de rencontrer Petros Markaris, LE pape du polar grec, mais aussi d’assiter à des happenings surprenants et à la remise de plusieurs prix.

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Sur Saturne, on tue des innocents

SaturneFoisonnante production que celle du polar et difficile de suivre le rythme, de faire des choix de lectures pertinents et de vous les soumettre ici même, d’autant que les semaines filent et que je me rends compte que je n’ai rien posté depuis deux semaines… Des dizaines de romans ont été publiés depuis le mois de septembre, alors que faire ? Vous parler de l’un de ceux qui m’a le plus marqué ces derniers temps, tout simplement. Direction l’Italie donc, avec Saturne de Serge Quadruppani. Lire la suite…

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Relax(e), Lalie…

laliePolardeux et écrivains de France et de Navarre, réjouissez-vous. Après l’audience à la 17e chambre correctionnelle de Paris hier, il semblerait que vous pourrez continuer à écrire des polars. Retour sur une affaire rocambolesque dont le dénouement n’a pas encore eu lieu, mais qui commence à sentir bon pour la principale intéressée, l’auteure Lalie Walker. Lire la suite…

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Ellory, new king of polar

Non, vous n’avez pas mal lu, il n’y a pas de coquille, je parle bien d’Ellory, pas d’Ellroy. Outre l’anagrame de leurs noms, un autre point commun rapproche les deux presque homonymes : le talent. Si le grand James traîne sa carcasse et sa moustache dans les librairies du monde entier depuis plusieurs décennies déjà, Ellory, quant à lui, est un petit nouveau qui a déboulé en France en 2008 avec un premier texte remarqué, Seul le silence (vendu à plus de 40 000 exemplaires en grand format et à 200 000 en poche) par l’entremise d’une jeune maison d’édition, Sonatine, qui frappe toujours juste. Vendetta, son second roman, a reçu un accueil similaire et il est à parier que Les Anonymes, publié aujourd’hui, fera encore parler de lui. L’auteur a bien voulu m’accorder quelques minutes de son précieux temps lors de son passage à Paris. Rencontre.

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Brèves de comptoir (noir)

detective

Quelques nouvelles du monde du polar avant un prochain post consacré à l’immense R.J. Ellory, dont le dernier roman, Les Anonymes, sera disponible dans deux jours. Direction donc la Grande-Bretagne, mais aussi Tahiti, Israël et le palais de justice de Paris pour ce petit tour du monde des affaires noires. Lire la suite…

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