Liens du jour #43

C’est (bientôt) la rentrée scolaire! 10 conseils pour les étudiants en journalisme (Journalism.co.uk)

Comment engager la discussion avec les lecteurs? Des réponses dans ce guide intitulé “The Talk” (Reynolds Journalism Institute, Université de Missouri, aux Etats-Unis)

Un autre guide, sur l’utilisation journalistique de Facebook, à l’usage des débutants et confirmés (Facebook)

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Liens du jour #42

Et si le mariage du Prince William et de Kate Middleton devenait le plus gros événement “live” que le Web connaisse? Devant les révolutions arabes? Devant le tremblement de terre/tsunami/crise nucléaire au Japon? Difficile à croire, et pourtant… (BBC)

Le Washington Post vient de lancer Trove, un site qui permet de personnaliser ses flux d’informations (Editors’s weblog)

De son côté, le Huffington Post a imaginé un système qui permet de suivre reporters et sujets au choix, et envoie aux lecteurs abonnés (gratuitement et via les réseaux sociaux) les articles correspondant à leur sélection (Huffington Post)

 

 

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Liens du jour #41

Et si Google et Facebook étaient les deux fils de Zeus? Le premier serait Appollon, dieu du Soleil et de la poésie, incarnant le Web “froid”, et Facebook incarnerait Dionysos, le dieu des excès, c’est-à-dire le Web “chaud”. Une analyse mythologico-numérique (Together on my Vespa, un blog d’Adriano Farano)

Les flux RSS des journaux sont-ils morts? (blog de Malcom Coles)

Les articles les plus lus sur Gawker sont des articles sur les nouvelles technologies, à en voir les chiffres 2010 (Gawker)

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Liens du jour #40 spécial Wikileaks

Wikileaks, le public, le journalisme traditionnel, et le nouveau journalisme, pourquoi tout le monde y gagne (Nieman Lab)

Wikileaks et la révolte du clergé: “L’histoire du premier vrai conflit entre l’ordre établi, l’establishment, et la nouvelle culture du Web” (Owni.fr)

Qui est l’auteur des fuites? Quelle sera la prochaine fuite de Wikileaks? Cela veut dire quoi, “cablegate”? L’affaire des câbles diplomatiques en 10 questions (et 10 réponses) (Slate.fr)

Soutien, doute, incompréhension, question: Les réactions du public à la publication par Le Monde des mémos Wikileaks (Le Monde)

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Liens du jour #39 spécial The Social Network

Crédit: Sony Pictures Releasing France

Crédit: Sony Pictures Releasing France

A regarder The Social Network, qui sort en salles mercredi 13 octobre, le rêve est là, à portée de clic. Il se résume ainsi: “Depuis un simple ordinateur, la technologie te permet de créer quelque chose qui peut changer la société. Tu n’as pas besoin de secrétaire, ni d’immeuble remplis de bureaux, ni d’employés”, comme le résume cet article du New York Times, intitulé “La version filmique de Zuckerberg divise les générations“. C’est là le “génie” du fondateur de Facebook, s’enthousiasme la génération digitale, quand les plus âgés ne peuvent s’empêcher de le trouver “vraiment trop méchant”. Un film clivant, donc?

Entre ambition et honneur

Au-delà du débat sur la personnalité du plus jeune milliardaire de la planète, le film illustre une quasi guerre des religions, comme le note The New York Observer: celle qui voit s’affronter Zuckerberg, “juif à l’ambition impitoyable”, contre les jumeaux Winklevoss, purs WASP de l’Université d’Harvard, se décrivant eux-mêmes comme des “gentlemen” et prêts à tout pour faire respecter, disent-ils, la noblesse du “code de l’honneur”. Dans la vraie vie, comme dans le film, Tyler et Cameron Winklevoss ont porté plainte contre le fondateur de Facebook, qu’ils accusent d’avoir volé leur idée de réseau social, et d’avoir fait croire qu’il travaillait pour eux alors qu’il construisait à son propre site. En 2008, ils ont déjà obtenu en justice 20 millions de dollars de réparation et 45 millions de dollars en actions. Ils ont fait appel.

Et les femmes dans tout cela?

Dans le film, elles sont reléguées au rang des groupies, ou, pire, d’objets: on les voit via des photos mises en ligne sur Facebook, sur lesquelles leurs congénères masculins cliquent pour évaluer leur sex-appeal. Slate.com s’interroge: The Social Network est-il sexiste? La seule fille qui ait un rôle, c’est l’ex-chérie de Mark Zuckerberg, Erica Albright (incarnée dans le film par Rooney Mara), qui, sans le vouloir, est à l’origine de Facebook, projet monté par Zuckerberg par désespoir amoureux, si on lit le scénario entre les lignes. A ce titre, la scène d’ouverture s’avère édifiante: c’est une scène de rupture amoureuse articulée comme si le dialogue se faisait par chat sur Facebook.

Outre Mark Zuckerberg (joué par Jesse Eisenberg) et son acolyte Eduardo Saverin (Andrew Garfield), le héros du film, c’est Facebook (trombinoscope en français). Un réseau créé en 2004 qui a su développer “une addiction chronophage, décrypte Le Monde Magazine. En moyenne 23 heures par mois sont passées sur Facebook. Mais des temps d’utilisation de 40 à 60 heures mensuels n’ont rien d’inhabituel”. Pour parfaire le tableau, rappelons que Facebook détient plus de 500 millions de membres d’inscrits, et sa valeur est aujourd’hui estimée à 33 milliards de dollars (23,6 milliards d’euros). Reste que, même si l’on voit beaucoup de personnages du film “manger du code (html, ndlr)” pour construire les coulisses de Facebook, The Social Network n’est pas un documentaire sur le plus gros réseau social du monde qui décrirait par le menu l’histoire du poke ou les enjeux de la vie privée.

L’ode aux entrepreneurs

Oui, le vrai Zuckerberg a emmené sa vraie équipe voir une projection du film avec le fictif Zuckerberg. C’était “fun”, apparemment, rapporte Reuters. De fait, selon Pete Cashmore, le patron de Mashable qui en fait sa chronique sur CNN, le créateur de Facebook ne peut pas ne pas aimer ce film. Toute l’histoire sonne vraie pour les entrepreneurs des nouvelles technos: “les bonnes idées ne donnent rien sans un indéfectible investissement et des innovations permanentes”.

AA

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Liens du jour #38

Faire des liens sur des contenus pertinents, c’est “essentiel au journalisme en ligne”. C’est la BBC qui le dit dans sa charte (The Guardian)

Aux Etats-Unis, 92% des bébés de moins de 2 ans ont déjà une présence sur le Net (Gawker)

Sur le point de créer un site Web? Voici la liste de ce qu’il ne faut pas oublier (OJR.org)

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Liens du jour #37

Entre décembre 2004 et novembre 2009, l’entrée de l’article “The Irak War” dans Wikipédia a subi plus de 12.000 changements. Les coulisses de l’histoire (Bits, le blog du New York Times)

Les 10 façons de rendre une vidéo interactive (PBS /Mediashift)

L’histoire de Facebook en polémiques (All Facebook)

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Liens du jour #36 (spécial Bettencourt/Médiapart)

Comment Le Monde a raté les enregistrements pirates de l’affaire Bettencourt, publié par Médiapart (Chroniques judiciaires, le blog de Pascale Robert Diard)

Comment Médiapart a obtenu les confidences de l’ex-comptable Claire Thibout (Arrêt sur images)

Un site Web français fait trembler le gouvernement Sarkozy (New York Times)

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Liens du jour #35

Les ados ne cliquent pas tant que cela sur le bouton “share”: 23% seulement partagent régulièrement des contenus en ligne, et quand ils le font, c’est pour la musique, les jeux et des images (The Strategy Web)

MSN veut se doter d’un code de conduite, comme dans les rédactions (News Rewired)

Le New York Times et le Huffington Post lancent des Tumblr: une migration au détriment de Twitter? (Editorsweblog.org)

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Liens du jour #34 (spécial vuvuzela)

La BBC a reçu plus de 500 plaintes à cause du vacarme des vuvuzulas lors de la retransmission des matchs (BBC news)

Mode d’emploi pour regarder les matchs de foot sans vuvuzela (Slate.fr)

Plus précis encore: comment couper le son des vuvuzelas sur son ordinateur ou sa télé? (Mikiane)

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